LE « MESSIE » COLLABO
Publié: Octobre 10th, 2014, 11:13 am
Les petits califats installés en France devraient interpeller la DGSI depuis très longtemps.
La Seine Saint-Denis, quelques quartiers parisiens et tant d’autres en Province sont devenus des zones où l’insécurité, la violence, les trafics de drogue et d’armes font désormais partie de l’économie locale.
La goutte d’or par exemple, dans le 18è arrondissement de Paris.
L’ex-Maire Delanoé y a installé un « Institut des cultures de l'islam », manière détournée d’offrir des mosquées nommées pudiquement « salles de prière ». La loi sur la laïcité ? On s’assoit dessus puisque tout ceci est une affaire de « culture islamique ». Une aide substantielles de 28 millions d'euros.
Le bastion de la goutte d’Or à Paris a repris des couleurs. Après avoir fait céder la Capitale à force de prières de rues, Bertrand Delanoé a offert une forteresse à ses électeurs musulmans.
Le quartier de la goutte d’or en a vu d’autres !
Durant l’occupation, 300 algériens appartenant à la « Brigade Nord Africaine » devinrent les sicaires de la Gestapo, provenant essentiellement du quartier « de la Goutte-d'Or » à Paris
Sous l’autorité d’un algérien du nom de Mohamed el-Maadi (Messie), cette brigade a employé une violence extrême pour débusquer, voler, violer et assassiner les Français soupçonnés à tort ou à raison de résistance au régime nazi.
(Mohamed El Maadi, toujours dans nos cœurs ! http://elafkarelwataniya.blogspot.fr/)
(aucune équivoque encore aujourd'hui !http://elafkarelwataniya.blogspot.fr/)
El Maadi a tenté et souvent réussi à rallier à lui les indépendantistes algériens qui commençaient sous le patronage de Messali Hadj de se faire entendre. A ce propos, l’historien Benjamin Stora voudra sauvegarder l’image du « père de la révolution algérienne » dans ses essais.
Le PPA, (Parti du Peuple Algérien) de Messali Hadj avait depuis longtemps débattu sur ces juifs algériens privilégiés par le décret Crémieux. L’antisémitisme de ce mouvement y était parfaitement enraciné.
(Saïd Mohammedi. Il gardera affectueusement son casque allemand jusqu'à sa mort).
Saïd Mohammedi a lui aussi participé aux heures sombres de l’histoire de France. A la tête de l’ANL bras armé du FLN, Mohammedi passa d’abord par la case WAFFEN SS.
Le FLN avait sous la main des officiers SS qui continuèrent le combat anti-juifs à travers cette guerre pour l'indépendance algérienne. De cela, la gauche française prompte à condamner l'état d’Israël, n'en parlera jamais. La malhonnêteté intellectuelle est une constante encore aujourd'hui.
Les massacres de Brantôme, (26 mars 1944), Sainte-Marie-de-Chignac (27 mars 1944), Saint-Martin-de-Fressengeas, Mussidan (52 fusillés), Saint-Germain-du-Salembre et des Piles à Cornille sont peu ou prou relatés par la résistance et tombent dans l’oubli. Tous perpétrés par cette "Brigade Nord Africaine sous l'autorité de Mohamed al-Maadi.
Pourtant, des témoignages existent comme celui-ci :
« Mettant leurs menaces à exécution, les nazis commencent à lâcher dans les rues plusieurs dizaines de cruels mercenaires arrivés récemment en Dordogne. Il s’agit des troupes de la "phalange nord-africaine ". En réalité des individus des bas-fonds, de nationalités diverses, sans foi ni loi, truands prêts à toutes les besognes, tueurs sans pitié et unis par une même idéologie celle de l’argent et du pillage. Entièrement au service de la Gestapo et de ses œuvres les plus basses. »
« De nombreux habitants sont dépouillés de leurs bijoux et argent liquide. Des objets de valeur sont entassés dans une camionnette, L’opération est accompagnée de beuveries car il y avait encore de bonnes bouteilles au fond des placards... Plusieurs femmes ou jeunes filles subissent des violences sexuelles. Parmi elles l’épouse d’un prisonnier de guerre qui appellera en vain au secours, Chacun se demande avec angoisse quand ce cauchemar prendra fin, car cela fait plus de deux heures que l’essaim criminel s’est abattu sur la ville.»
Ancêtres du gang de Roubaix ?
Petit proxénète algérien tombé sous le charme de Bonny le chef de la Gestapo française de la tristement célèbre rue Lauriston, Mohamed al Maadi a fini ses jours tranquillement en Allemagne. Il y sera accueilli par le Mufti de Jérusalem Amin al Husseini autre nazislamiste bien connu qui n’aura rien à craindre après la guerre.
Tandis qu’on aura voulu nous vendre à grands renforts de films et de propagande la soldatesque arabe venue délivrer la France, on aura gentiment remisé la "petite histoire" faite de viols massifs par ces mêmes soldats en Italie et en France.
Tandis que la gauche s’emploie à faire d’Israël un état colonialiste, elle a appris à oublier consciencieusement que le FLN a recruté des officiers SS et partage aujourd'hui encore l’idéologie nazie.
L'écrivain algérien Boualem Sansal aura beau tenter de remettre les pendules à l’heure, narrer les camps de jeunesse du FLN où l’on sevrait les gamins d’antisémitisme comme ceux des jeunesses hitlériennes, rien n’y fera.
Nous faisons face à une idéologie dont le vecteur principal est le dogme religieux.
Les procédés sont les mêmes : la violence extrême, le grand banditisme, les viols et les meurtres.
Tout ceci est possible en Syrie, en Irak, au Yémen partout où le chaos s’est installé AUJOURD'HUI.
Et demain ?
C’est parce que la mémoire leur fait défaut que le monde arabe ne pourra jamais extirper la haine qui l’habite.
C’est aussi parce que la mémoire est sélective que l’Occident doit s’attendre à renouer avec la guerre, une des pires que le monde aura à livrer.
L’ennemi n’est pas en uniforme. Il est mal défini parce qu'il est INTERDIT DE LE FAIRE !
L’anti-racisme est la plus belle arme qu’on nous ait jamais fabriquée depuis le nucléaire.