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HONTE A TOI HUSSEIN OBAMA !

MessagePublié: Juin 21st, 2011, 1:34 pm
par Nina


Un Président qui affiche son agacement à l'égard de l'État d'Israël, au point de manquer complètement de miséricorde à l'égard de Jonathan Pollard qui voulait après 27 ANNÉES D'INCARCÉRATION voir son père mourant . Obama n'a même pas trouvé en lui un petit reste d'humanisme pour laisser Jonathan lire le kadish sur la tombe de son père.

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A-t-il seulement consulté le cousin de sa femme Michèle qui est lui-même rabbin ? Sans doute pas...Barack Hussein est bien trop irrité par la nuque raide du petit état juif qui l'empêche d'entrer dans l'histoire avec un règlement du conflit israélo-arabe à l'emporte-pièce.

Alors que toutes les personnes qui ont à l'époque condamné ou fait condamner Jonathan Pollard ont demandé des mesures de clémence pour Jonathan, le seul qui avait le pouvoir de le gracier ou de le faire libérer le temps des funérailles, n'a pas daigné donner suite.

Les leçons du Révérend Jérémiah Wright ont été bien retenues par Barack Obama. L'antisémitisme pas même caché durant les sermons de Wright auront bien profité au Président américain.

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Voici un extrait : « A 66 ans, Wright avait d'ailleurs conscience qu'il pouvait devenir un poids pour Obama, le premier candidat noir ayant une réelle chance d'accéder à la Maison-Blanche.
"Quand les ennemis d'Obama découvriront qu'en 1984 je suis allé à Tripoli pour voir le colonel Kadhafi avec Farrakhan (ex-leader du mouvement Nation of islam, accusé d'être antisémite) beaucoup de ses soutiens juifs disparaîtront". "Et si Barack gagne l'investiture, il pourrait avoir à se distancer publiquement de moi", avait-il déclaré au New York Times.

Voilà comment on perd ses amis juste le temps d'une investiture, le temps des élections. Des amis osant « Je maudis l'Amérique ! «  comme l'avait hurlé ce révérend de pacotille que fut Jerémiah Wright.

Pourquoi donc Obama s'obstine-t-il donc à refuser une dernière prière à un mourant ? Morris Pollard (z'l)est mort sans avoir revu son enfant parce qu'un type qui se trouve être Président des États Unis a refusé cette ultime requête.

Qu'on cesse de me vanter les mérites de cet homme ; de sa « compassion » opportunément chrétienne au moment où il décida de devenir l'homme fort de la Maison Blanche.

Jonathan Pollard n'est pas seulement le personnage que vous apercevez dans le film culte de Rochant « Les patriotes ». Yvan Attal n'est pas exactement le maître-espion Raffi Eitan dans ce film.

Ce film ne fait qu'ébaucher à très grands traits ce que peut être les services de renseignements israéliens, le Mossad. Mais en aucun cas, il ne faut prêter attention à ce scénario, certes bien fait pour le grand public.

Le Mossad est bien plus et bien plus compliquées furent ses missions depuis sa création en 1949.

Toutefois, ce n'est pas l'objet de ce coup de gueule.

Jonathan Pollard a bel et bien transmis des données sensibles à Israël. Pourquoi le nier ? Même lui ne l'a pas fait durant ses différentes comparutions devant les tribunaux.

La question pour moi essentielle est pourtant celle-ci : « Pourquoi Jonathan Pollard a-t-il trouvé pertinent et urgent de transmettre CERTAINES DONNÉES que la CIA et la NSA auraient normalement du transmettre à ses « alliés indéfectibles israéliens ? »

Ces renseignements si sensibles pouvant nuire à la sécurité de l'état juif n'auraient-ils pas du être partagés ?

Si la CIA et le MI6 peuvent tout se dire parce qu'alliés, il ne peut en être de même entre la CIA et le Mossad ? POURQUOI ?

Jonathan est comme moi, comme vous et moi. Son cœur, sa culture, son patriotisme sont américains. Sa mémoire, son âme sont juives.

Il a senti brusquement qu'il détenait des informations dont l'état d’Israël se devait de détenir AUSSI afin de mieux préparer sa sécurité.

Le manque de volonté de ses supérieurs à partager des données aussi graves l'ont mis devant une responsabilité telle que personne, je dis bien personne, du moins pas un juif, n'aurait pu rester impassible. Il en allait de la sécurité même de l'état d'Israël !

Il aurait été alors criminel de ne pas le faire.

La seconde question est bien sûr celle à laquelle on ne doit ou ne peut pas répondre. Pourquoi nos meilleurs alliés dans le monde ont-ils voulu garder des informations aussi précieuses dont Israël avait besoin pour ajuster ses systèmes de sécurité ?

Je vous laisse y répondre.