par tadcoz » Avril 10th, 2011, 6:28 am
Je conçois fort bien que la notion d'urgence et la proximité du danger, la menace permanente dans l'histoire sous la forme d'une épée de Damoclès font des agents israéliens des hommes et des femmes sous tension permanente et de leur service une sorte de cocotte minute. En France, le danger étant plus diffus dans les couloirs autistes de "la boîte" ou dans les cabanes en préfab de la DCRI, la menace est plus diffuse. Cela colorise les services, cela leur donne une image et participe de leur légende. Je trouve étrange qu'il n'y ait pas eu encore d'écrivains qui se soient emparés de ces identités pour "glorifier ou punir" les légendes qui les revêtent... en dehors du MI6 de John le Carré.