(Ce serait donc un crime négrophobe que cet incendie ? Perpétré par des associations qui oeuvrent sans relâche pour installer des familles africaines et polygames ? Décidément...la manip et le mensonge sont les deux mamelles de ces gros cons !)
L'incendie du boulevard Vincent-Auriol est un incendie ayant eu lieu dans la nuit du jeudi 25 au vendredi 26 août 2005 au 20 boulevard Vincent-Auriol dans le 13e arrondissement de Paris, dans un immeuble géré par un bailleur associatif où résidaient cent trente personnes. Le bilan s'élève à dix-sept morts dont onze enfants.
Qu'est-ce qu'un bailleur associatif ?
Une association qui peut jouir d'un immeuble en mauvais état et d'un bail emphytéotique sur une cinquantaine d'années. En l'occurrence, nous avions ici la FREHA (France Europe Habitation) en charge de gérer l'immeuble pour le compte de l'association EMAÜS.
Quel type de locataires dans cet immeuble ?
Cent trente personnes originaires d'Afrique de l'Ouest, sont en situation régulière et disposent de revenus mais ne trouvent pas de logement dans le parc privé. Ce sont des familles polygames, avec de nombreux enfants, souvent une dizaine, qui vivent souvent dans des regroupements d'appartements. Certaines d'entre elles accueillent aussi de la famille élargie, avec des oncles ou des grands-mères.
Pourquoi raconter cette histoire ?
Outre le fait que cet immeuble était extrêmement dangereux puisque toute l'électricité était une sorte de labyrinthe où les fils pendaient partout et où les fameux locataires tentaient par des raccordements plus qu'incertains de ne pas avoir à payer leurs factures EDF, on pouvait sans mal, comprendre que d'un moment à l'autre, un drame allait forcément survenir.
Parlons GHETTO :
Souvent, la seule ritournelle que les immigrationnistes, les politiques ou autres qui vous vendent la ghettoïsation des cités qui serait source de criminalité va prendre un coup dans l'aile lorsque j'aurai raconté MON HISTOIRE.
Après ce drame, dont je rappelle que les seules victimes étaient d'Afrique de l'Ouest et chapeautés par de "gentilles associations" prêtes à mettre en péril la vie de leurs protégés pour les garder sur le sol français, voilà ce qui arriva quelques mois après :
Je rencontrais le gardien de mon immeuble qui avait un drôle de regard et semblait presque hébété devant ce qu'il venait de vivre.
Il s'empressa de me narrer comment une jeune femme qui avait échappé aux flammes mais avait perdu toute sa fratrie dans cet immeuble du Boulevard Auriol, venait de partir EN REFUSANT L'APPARTEMENT DE 4 PIECES, EN EXCELLENT ETAT, REZ DE JARDIN ET EN PLEIN COEUR DE PARIS.
" - Non ! Je ne veux pas de cet appartement, il y a trop de blancs ici et j'ai besoin de retrouver des voisins qui sont noirs comme moi sinon je ne pourrai pas me fournir en viande hallal et je ne sais même pas s'il y a une moquée pas loin !".
Elle fut catégorique !
Trop blanc, trop bien, pas sûr de trouver un imam si possible noir et encore moins des voisins qui lui ressembleraient.
Alors qu'elle venait d'un taudis qui a tué pratiquement toute sa famille, cette africaine voulait avant tout un grand appartement (on le lui devait et non les associations qui l'avaient mise ainsi que sa très grande famille en péril) en MILIEU NOIR !
Devant tant de connerie, je me mis à douter.
Mais mon gardien m'emmena près de la voiture de fonction de la Mairie de Paris dans laquelle trônait cette brave rescapée d'incendie mais qui eût la mauvaise idée l'amener dans ce quartier trop blanc et s'apprêtait à lui trouver un coin plus africain...
Selon les dires de mon gardien, ce n'était pas la première fois qu'il faisait face à ce type de comportement.
D'autres locataires venus du Maghreb et d'Afrique subsaharienne ont souvent refusé la "blanchitude" des résidents de mon quartier pour se précipiter vers ces fameux "ghettos" dont on nous rebat les oreilles depuis des lustres pour excuser tous les crimes et délits.
LA FAUTE AUX BLANCS ? VRAIMENT ?
La polygamie dont Assa Traoré et Dieudonné M'bala M'bala (17 et 18 frères et sœurs) est tellement répandue en France qu'elle a incité des élus des communes de gauche à envisager des pavillons pouvant recevoir toutes les femmes et enfants qui veulent vivre entre eux. Faits sur mesure !
Pour un peu, ces familles dont les "géniteurs en titre" n'ont jamais travaillé sinon pour pallier les problèmes démographiques de la France en besognant 4 femmes, seraient la fameuse chance que nous attendions comme une délivrance.
Ces ghettos "dont nous serions les affreux bâtisseurs" sont nécessaires pour ces familles communautaristes et pour plusieurs raisons :
- On peut faire travailler ou laisser travailler les enfants dans la chouffe aux flics et appartenir à cette grande entreprise fournissant drogues et armes.
- On peut avoir son BOUT D'AFRIQUE DU NORD OU SUBSAHARIENNE tout en jouissant du système le plus généreux de toute l'Europe.
- On peut enfin être polygames sans qu'aucune administration ou assistants sociaux ne viennent perturber la bonne marche de tous ces quartiers où l'on vit à l'heure du muezzin et des décrets religieux ou fatwas édictés par des imams qui leur ressemblent.
Ne manquent que les arbres au milieu des "villages-ghettos" où ces pourvoyeurs d'enfants par dizaines ne viennent s'installer à leurs pieds non pas comme de viles élus républicains mais comme "chefs de tribus".
Ce n'est pas anodin d'avoir osé faire appel aux imams pour faire cesser des émeutes lorsque Sarkozy était au pouvoir. On appelle cela LA HUDNA. Nous sommes à la pointe du droit islamique !
Non...Nous nous sommes tout simplement adaptés.
L'histoire de cette femme refusant un bel appartement avec jardin DIT ABSOLUMENT TOUT SUR ce que d'aucuns appelleront ADAPTATION lorsque d'autres oseront enfin parler de dévoiement ou de REMPLACEMENT.
Les ghettos ? C'est eux...Sans les tribus, les clans, ils ne peuvent prospérer.
A cause d'eux, ce sont les français qui déménagent alors qu'ils s'installent. Morceau par morceau, la FRANCAFRIQUE est sur notre territoire et chassez le souverainiste qui se cache en vous, vous ne ferez jamais le poids.
PS : Les deux associations immigrationnistes, généreuses et ayant contribué à ce désastre n'avaient pas tenu compte des problèmes de SATURNISME et de BRANCHEMENTS ELECTRIQUES DANGEREUX.
Leur seule motivation était de pousser à bout les bailleurs sociaux pour loger leurs familles polygames même au prix de dizaines de morts.
Les deux sociétés sont reconnues coupables d'homicides et de blessures involontaires et sont condamnées chacune à 30 000 euros d'amende. Elles doivent aussi verser environ 700 000 euros de dommages et intérêts.
Toute récupération avec les "formidables" UTOPIA 56 et ASSOCIATIONS TYPE CEDRIC HERROU serait non pertinente...quoique...