AUCUN JOURNALISTE N'OSERA POSER LA BONNE QUESTION CONCERNANT L'ASSASSIN ET INCENDIAIRE SAMUEL ABAYISENGA.
Ayant toujours l'esprit mal tourné, votre humble servante s'est demandée si cet imposteur criminel rwandais était HUTU OU TUTSI.
Il m'a fallu de la patience car j'ai trouvé l'information que je souhaitais dans un journal britannique.
Voyez vous-même :
He comes from a Hutu family, with the news outlet suggesting some of his family may have participated in the genocide against the Tutsis in 1994, and that his father was executed as a result when he returned to his home village.
Abayisenga became a police officer in Rwanda, but later travelled to France where upon his arrival, his application for asylum was refused
Sources : DAILYMAIL
Samuel Abayisenga est issu d'une famille HUTU et certains témoignages concernant sa famille suggèrent qu'elle (la famille) a participé activement au génocide des Tutsi en 1994.
Son père a été exécuté lorsqu'il retourna (après ses crimes) dans son village.
Samuel Abayisenga devint un officier de police au Rwanda mais plus tard il parvint à gagner la France pour y demander asile, ce qui lui fut refusé.
Voilà pour la très succincte information sur le personnage. Pourtant cela n'est pas ANODIN et il faut garder en mémoire que cet homme qui avait 13 ans à l'époque des faits a certainement lui-même participé aux coups de machettes mortels sur des Tutsis.
L'histoire sur ce génocide rwandais regorgent de ces témoignages de très jeunes adolescents n'ayant absolument AUCUN FILTRE EMOTIONNEL POUR TUER HOMMES, FEMMES ET ENFANTS TUTSIS.
Voilà donc le terreau psychiatrique de cet homme qui fut flic après la guerre et trouva sans doute que l'herbe était plus verte en France et ne voulait sans doute pas passer par les fourches caudines de la justice rwandaise en étant reconnu par des proches Tutsis et se retrouver soit en prison soit exécuté.
C'est par Lampedusa que cet homme est arrivé.
Depuis 2016, il a fait toutes les démarches à plusieurs reprises pour obtenir l'asile politique en vain.
Pourquoi avoir attendu pour mettre à exécution l'obligation de retour à la frontière ?
Interpol, la DGSI ignoraient que ce type avait les "racines du mal" en lui alors même que son père fut exécuté comme bourreau ?
Combien de ces rwandais demandeurs d'asiles jouent sur l'impuissance à savoir s'ils furent les bourreaux ou les victimes ?
Tout ce que je sais c'est que cet homme ne méritait ni asile ni oubli ni pardon. Mais je ne suis pas catholique et je n'ai pas mes entrées près du Pape qui aurait du savoir qu'il embrassait un sérial killer d'autres catholiques : les Tutsis.
Quelle honte ! Quel manque de discernement et surtout quel crachat sur les victimes Tutsis de ces horreurs !
Nous avons l'art d'héberger des tueurs de masse et l'histoire de ce rwandais est très loin d'être anecdotique.