Il suffirait de peu de choses pour satisfaire les gens vivant à la périphérie de Paris, Lyon, Marseille et Montpellier pour ne citer que ces grandes villes.
Il faut les laisser continuer leur business de drogue et ne plus envoyer un flic, un pompier ou un médecin dans ces quartiers.
Ils veulent vivre de façon autonome ? Bingo ! Laissons faire sans que cela dépasse les limites géographiques.
Certains bien-pensants comme Gérard Leclerc qui sévit sur Cnews commence vraiment à nous faire chier et nous n’avons plus envie (le nous de mes potes et moi et non celui du monarque vous l’aurez compris) de voir cette tête de con qui se gauchise au point de faire paraître Poutou pour un mec de droite.
Personne n’osera aborder la surpopulation infantile ou le fait que des femmes signalées auprès de la CAF comme « parents isolés » continuent à procréer et à percevoir des sommes de plus en plus faramineuses.
Si, en 2003, on recensait près de 80 000 familles polygames (selon les statistiques INSEE), j’imagine que l’on a cessé de s’intéresser au phénomène dès lors qu’il est convenu qu’une femme avec plusieurs enfants est divorcée et que son « ex-mari » en épouse une autre à la mairie et 3 autres devant un imam.
Cet homme, suivant scrupuleusement la shariah pourra être à la tête d’une vingtaine d’enfants et son comportement anti-républicain coûtera des milliers d’euros à la CAF et à la sécurité sociale.
Pourquoi irait-il travailler ?
Les mères dépassées par leurs marmailles qu’elles ne peuvent éduquer car elle-même ne peuvent suivre les bases scolaires, se contenteront de faire à manger et à envoyer leurs enfants à l’école pour que les allocations leur soient versées.
Si je résume la situation : l’état doit ELEVER, INSTRUIRE, HABILLER, NOURRIR ET MÊME ADOUCIR LES CONDITIONS DE CES ENFANTS EN LEUR OFFRANT DES BONS DE VACANCES OU DES ASSOCIATIONS SPORTIVES SI POSSIBLE HALLAL !
Ces femmes pondeuses ne peuvent donner suite aux naissances multiples surtout que le père n’est plus dans les parages en général.
Pourquoi ne pas faire de comptabilité sérieuse sur les familles monoparentales en zones sensibles ?
Parce que cela exploserait à la gueule de toute la France que les enfants sont D’ABORD UNE RENTE tout de suite et un complément substantiel de retraite.
C’est ainsi que les africains le conçoivent près de chez moi. Faire beaucoup d’enfants et prélever une partie de leurs salaires dès qu’ils trouvent un emploi même peu rémunéré.
Pourquoi ne pas compter aussi les familles nombreuses dont les visas ont expiré depuis longtemps ?
Pourquoi ne pas demander le patrimoine des familles d’origine maghrébine dans leurs pays d’origine ?
Posséder un appartement et parfois un immeuble alors qu’on souscrit au RSA en France est plus courant qu’il n’y paraît.
Inutile de penser à recenser le nombre de morts qui perçoivent encore leurs retraites depuis des années et auxquels on ne demande pas de « preuves de vie » puisque ce sont les descendants qui se chargent de fournir de faux documents.
S’étonner de l’état des hôpitaux en France, de la gabegie incroyable des deniers publics et de ce qu’il en coûtera aux contribuables de réparer les édifices publics des banlieues ravagés par des dealers en colère est inepte.
On ne peut pas régler un problème si on oublie toutes ses composantes.
Par pudeur sans doute, l’Assurance maladie parlait il y a un mois de plusieurs milliers de cartes vitales dont les titulaires n’existaient pas.
Cette brave institution devrait aussi comptabiliser la carte vitale qui servira à une centaine de gens dont la photo floue permet l’utilisation sans risque.
Nous parlons en centaines de millions d’euros volés à l’état en un an… Ces trafics perdurent depuis plus de 30 ans.
Si des fonctionnaires sont partis chercher le fric des cols blancs, ils n’oseront jamais s’attaquer à celui des joggings et Adidas car la France serait à feu et à sang.
A moins que...Mais il faut du courage et ça n’est pas une vertu depuis un demi-siècle dans notre pays.
Il ne reste qu’à se taire et à payer mais ne venez pas vous plaindre car il paraît selon Gérard Leclerc que « nous sommes privilégiés ».
Nina