(Il a raté sa vocation Justin Trudeau. C'est acteur qu'il aurait du faire !)
Il y a quelques semaines, Trudeau pleurait à chaudes larmes devant le racisme frappant cette pauvre "jeune femme musulmane qui portait le hijab et se faisait insulter".
Or, TOUTE CETTE HISTOIRE EST BIDON !
https://www.facebook.com/DCTV2/videos/10156128287264452/ (vidéo)
LE COMPLOT EXPOSÉ : DES MUSULMANS, TRUDEAU ET CBC INVENTENT UNE FAUSSE HISTOIRE DE CRIME HAINEUX POUR CRIMINALISER LES CANADIENS DEVANT LE MONDE ENTIER, RÉVÈLE LA POLICE - PARTIE 1 DE 2
Ce complot, qui a fait le tour du monde, est scandaleux. Les Canadiens expriment actuellement tous leur colère à travers le pays. Du jamais vu de la part d'un gouvernement ou d'une communauté. J'ai divisé le dossier en deux parties dû à la sévérité de ce qui vient de se passer. La seconde vidéo suivra celle-ci.
Une jeune musulmane, son frère et sa mère niqabée, en banlieue de Toronto, ont affirmé le 12 janvier qu'elle allait à l'école lorsqu'elle a été attaquée par un homme asiatique qui est venu par derrière pour lui couper son hijab à deux reprises avec une paire de ciseaux. À cause de sa «religion», ont-ils dit, avec la complicité de Justin Trudeau et la chaîne fédérale CBC.
La musulmane et sa famille ont alors appelé la police pour leur raconter ce récit fictif. 45 minutes plus tard, CBC a publié son reportage en grande manchette à travers le pays.
Les médias nationaux et du monde entier, dont CNN, BBC, CTV et le New York Times, ont alors sauté sur l'histoire sans aucun scepticisme. La commission scolaire, Trudeau, son cabinet libéral, la PM de l'Ontario, le maire de Toronto et les lobbyistes musulmans ont tous dit que c'était la preuve d'une «islamophobie rampante» et «violente».
Mais après une enquête approffondie, la police a révélé qu'ils ont tout inventé. L'attaque ne s'est jamais produite. Un faux crime islamophobe créé de toute pièce pour criminaliser les Canadiens avec la complicité de Justin Trudeau.
La police a d'abord annoncé le crime signalé à 8 h 52. De nombreux crimes ont lieux dans la grande ville de Toronto, mais les médias semblaient juste savoir que celui-ci était digne d'intérêt. C'est la chaîne fédérale CBC News, la version anglaise de Radio-Canada, qui a publié l'histoire en premier.
L'affaire était douteuse dès le départ, car selon les faits, CBC «semblait» être au courant de l'histoire avant qu'elle ne se produise. Ils avait quelqu'un qui rédigeait l'histoire 45 minutes plus tard. Ce que plusieurs ont exposé sur Twitter immédiatement après le canular surnommé «hijab hoax».
Comment était-il physiquement possible que la CBC apprenne ce crime, décide qu'il était suffisamment important pour le couvrir, envoie-t-il un journaliste, vérifie les faits, écrit l'article et le publie - en 45 minutes ? Voilà la question que plusieurs se posent.
La même journée, Trudeau s'est empressé d'organiser un point de presse pour condamner les Canadiens avec un sourire moqueur tout le long de son discours. Plusieurs, dont moi-même, ont réalisé dès ce moment que c'était un canular. Ce que tout le monde à exposé sur Twitter. Une conférence de presse qui a été télédiffusée à travers le monde, incluant sur le Web et les réseaux sociaux. Étrangement, la moitié du cabinet libéral qui connaissait miraculeusement cette histoire presque aussi rapidement que CBC.
Après ce complot islamique, toutes les personnes responsables ont profité de l'occasion pour condamner les Canadiens et les Canadiennes. Puis, l'inévitable est arrivé : un communiqué de presse de la police de Toronto indiquant qu'«après une enquête approfondie, la police a déterminé que les événements décrits dans le communiqué de presse original n'ont jamais eu lieu»
Puis, les médias mensongers se sont tous rétractés.
C'était un mensonge. Un faux crime haineux. La police et les enquêteurs ont indiqué qu'il était «très troublant» de voir qu'une fillette de 11 ans, qui prétendait avoir été attaquée à deux reprises à cause de sa religion, faire une conférence de presse nationale immédiatement après. Avec son jeune frère qui se retenait pour ne pas éclater de rire lors du point de presse. Ce que l'on voit très clairment dans la vidéo.
La majorité des Canadiens pensent que ce n'était pas son idée, et qu'elle faisait simplement suivre les directives qu'ont lui aurait donné. Un texte qu'elle semblait avoir mémorisé par cœur, avec un langage d'adulte, et non sa façon habituelle de s'exprimer, selon les faits. Elle a certainement été mise à l'abri par sa mère mensongère et farfelue, qui a également pris la parole lors de la conférence de presse, portant un niqab noire et obscurci.
Et voici ce qui est étrange. La fillette, son frère et sa mère ont tous des noms de famille différents.
Font-ils partie d'une famille polygame ? C'est peut-être une question qu'un journaliste de CBC pourrait poser un jour. Cette famille, la commission scolaire, le gouvernement de Justin Trudeau et les médias qui leur ont donné un mégaphone, bref tout le monde semblent être impliqués d'une façon ou d'une autre.
Les médias ont publié cette fausse histoire de crime haineux islamophobe dans les 45 minutes suivant le canular. Puis, une conférence de presse pour la «victime» de onze ans a immédiatement été organisée. Justin Trudeau, les ministres libéraux, la Première ministre de l'Ontario, Kathleen Wynne et le maire de Toronto, John Tory, ont tous tweeté leur indignation avant que des accusations aient été portées.
Trudeau et la moitié du cabinet libéral connaissaient miraculeusement cette histoire presque aussi rapidement que CBC.
Choquée, la police de Toronto a indiqué que c'est la première fois qu'ils voient une victime de onze ans être exposée de cette façon; parler à des journalistes - en utilisant son nom - et sa photo. Chaque fois que des jeunes sont impliqués dans une affaire criminelle, leurs noms sont automatiquement soumis à une interdiction de publication. C'est même la politique de CBC/Radio-Canada.
«Douteux», est le moins que l'on puisse dire.
TRUDEAU EST-IL DERRIÈRE CE COMPLOT ?
Dans son éditorial, le célèbre journaliste et chroniqueur canadien Spencer Fernando a écrit : «Bien qu'il ait joué un rôle de premier plan dans la diffusion du «hijab hoax» (canular hijab) dans le monde, Justin Trudeau refuse non seulement de s'excuser, mais il attaque en plus les Canadiens.»
Dans sa déclaration, après que la fausse histoire a été révélée, Trudeau a qualifié le canular d'«intolérance accrue» chez les Canadiens. Aucune condamnation de la famille pour avoir menti.
Pas d'excuses. Rien.
Il n'a jamais avoué ses tors du fait qu'il s'est empressé à tweeter un message sur la fillette alors qu'il en a fait une histoire internationale, et a mis tout le poids de la réputation du Canada derrière une histoire qui n'était pas confirmée.
Pourtant, au lieu de montrer sa propre conscience, Trudeau montre son arrogance totale et son mépris pour les Canadiens en refusant de s'excuser, indique M. Fernando, dans son éditorial. Il a répandu un mensonge dans tout le pays et a assumé le pire des Canadiens.
Sans l'intervention de Trudeau, l'histoire serait probablement restée locale et non internationale.
Lire ici : (http://www.spencerfernando.com/…/arrogance-trudeau-shows-contempt…/)