Un officier égyptien bien placé vient d'admettre que l'Egypte pourrait reconnaître JERUSALEM comme la capitale d'Israël au grand dam des palestiniens qui ne savent plus où se tourner pour établir leur propre capitale à l'Est de la ville de David.
Cet article du New York Times va bien entendu au-delà du scoop en étalant en premier lieu l'alliance tacite des pays arabes avec l'état juif mais aussi les risques que cela entrainent vis à vis de leurs populations.
Il met en exergue de façon ironique comme un médium de gauche bien entendu la duplicité des pays de la ligue arabe qui dénoncent la position du Président Trump sur la reconnaissance de Jérusalem comme la capitale d'Israël et vont bien sûr se draper dans une fausse indignation en donnant des gages aux arabo-musulmans du monde en convoquant une assemblée générale à l'ONU pour condamner la déclaration de Trump.
Or, toutes ces nations arabes sont pourtant plus que prêtes à non seulement reconnaître Jérusalem comme la capitale de l'état juif mais elles sont aussi prêtes à fermer les yeux sur la récupération par l'état d'Israël de la Judée Samarie.
Non qu'elles soient devenus en quelques mois pro-israéliens voire pires...des philosémites au sens premier et non comme aiment le faire croire les arabes du monde qui vous mettent en pleine poire : "nous ne sommes pas antisémites, nous sommes nous-mêmes sémites". Plus hypocrite tu meurs !
Désormais un réel pragmatisme vient de s'abattre sur tous les dirigeants arabes sunnites de la région : l'IRAN peut d'un jour à l'autre les défaire et pire encore réussir à exporter leur fameuse "REVOLUTION ISLAMIQUE".
Si demain, peu d'arabes sunnites seraient enclins à adopter le chiisme, ils pourraient néanmoins adopter clef en main "la révolution islamique".
Les soubresauts des "printemps arabes" qui ont tous fini par devenir des hivers salafistes restent dans les mémoires des princes saoudiens et des dirigeants arabes tels qu'Al Sissi, Abdallah de Jordanie et tous les pays du Golfe.
Un intellectuel arabe vivant aux Etats-Unis répond à ce scoop en disant qu'une décennie plus tôt tout ceci n'aurait pu avoir lieu car Jérusalem et le problème palestinien étaient le "faire valoir idéal" pour tous les dirigeants de la région.
Sans les printemps, guerres syro-irakiennes, Daesch et les velléités de retour aux empires Turcs et Perse, ce revirement incroyable ne pourrait même pas être évoqué.
Sans la montée des attentas en Europe, aux USA, les pays arabes ont mis bout à bout tous ces nouveaux éléments et ont compris un peu tard qu'ISRAEL NE POUVAIT PAS TOUJOURS JOUER LE RÔLE DE CACHE SEXE DE LA MALADIE ARABO-MUSULMANE.
Pire encore, tous ces dirigeants ont enfin compris l'ampleur du mal, des Golems, qu'ils avaient eux-mêmes fabriqués, financés.
Or, ces Golems devenus incontrôlables viennent jusqu'aux pieds de leurs trônes ou de leur sièges de Présidents et personne n'a la formule pour les arrêter.
Personne ?
Si. Israël justement et son allié redevenu réel après près d'une quinzaine d'années de circonvolutions ineptes : LES USA.
Les pays arabes, la Ligue arabe n'a pas de meilleurs sentiments vis à vis des juifs. Ils ne faut pas rêver.
Ils sentent seulement le feu perse se rapprocher, la fureur de leurs peuples envahir leurs espaces privilégiés et les seuls à avoir l'expérience du combat et de la guérilla ainsi que celui du renseignement c'est encore ISRAEL !
Depuis plus de 50 ans, ces pays arabes ont pu voir l'ampleur de la corruption des arabes dit palestiniens. Ils les haïssent tranquillement depuis tout ce temps mais avaient besoin d'un épouvantail permettant à leurs peuples de regarder ailleurs et surtout pas dans leurs palais et résidences présidentielles.
Aujourd'hui, ils sont prêts à brader des gens qu'ils détestent et même une doctrine anti-juive enseignée dès l'enfance à leurs peuples pour peu que les juifs les sauvent avec les américains d'un malheur bien réel : la disparition de leurs états.
Le fameux CAPITAINE KHOLI qui fait ces confidences de façon sonore et à l'adresse des médias occidentaux a bien entendu reçu l'aval au plus haut niveau de l'Egypte, c'est à dire d'Al Sissi et même de Mohamed Ben Salman pour parler.
Disons que ceci est l'apéritif. Cet homme est sensé préparer l'occident tout autant que les pays arabes à la reconnaissance OFFICIELLE d'ISRAEL ET DE SA CAPITALE JERUSALEM.
Il en va de leurs vies, rien d'autre.
Les seuls opposants à cette reconnaissance ne se trouveront pas nécessairement dans leurs états mais en Occident.
Il suffit de lire à travers les lignes du journaliste du NYT pour comprendre que ces dirigeants arabes sont en train de leur retirer leur jouet préféré aux média occidentaux, leur OPPRIME PREFERE : LE PALESTINIEN.
En conclusion, les pires opposants à une paix israélo-arabe seront en Occident et il est fort à parier que les printemps arabes avec leurs fous-furieux salafistes auront encore plus de raisons de fomenter des attentats terroristes en Europe et aux USA.
Déplacer le terrorisme en Occident est une forme de sauvegarde que les pays arabes pensent faire car il est presque entendu que nous saurions mieux nous défaire des tarés qui peuplent nos sociétés.
Et pourquoi pas ? Pourquoi l'Europe minée par des millions d'arabo-musulmans, des africains, afghans, asiatiques musulmans ne devraient pas comprendre ce qu'a subi depuis plus de 70 années un état juif ?
Cette fois-ci, le clash "civilisationel" pourra éclater et donner à l'occident le sursaut nécessaire à la réhabilitation de ses sociétés.
Cette fois-ci seulement, on pourra prendre conscience que l'islam ne peut et ne doit pas prendre possession de l'identité respective des pays où il s'est installé pour régner.
Mettra-t-on une chape de plomb encore de longues années sur ce problème ou allons-nous enfin prendre conscience que l'islam n'est pas soluble dans la démocratie ?
Le dernier avatar de Dalil Boubakeur qui s'est senti vexé de n'avoir pas été invité par Macron pour les vœux présidentiels prouvent une chose : La susceptibilité des musulmans est consubstantielle à leur incapacité à s'adapter aux mœurs, coutumes des pays où ils s'installent.
Nous ne baissons pas la tête devant les keffiehs. Nous n'avons pas à faire des courbettes aux imams et encore moins à tous ces blédards qui veulent imposer la charia aux forceps.
OUI POUR LA CHARIA...HORS NOS MURS !