La configuration des lieux et la vidéo attestent surtout que Latifa Ibn Zieten est devenue UNE PRO DU MENSONGE ET DE LA MANIPULATION.
Voici ce qu'en disait Le Parisien aujourd'hui :
Latifa Ibn Ziaten avait été bousculée lors du procès Merah à Paris.
Le témoin a livré sa version des faits. Il n’a pas été placé en garde à vue.
Un homme s’est présenté spontanément cet après-midi, vers 15 heures, dans un commissariat de police de Charenton-le-Pont (Val-de-Marne). Il tenait à s’expliquer après avoir lu l’article publié ce matin sur notre site Internet, faisant étant d’une plainte déposée par Latifa Ibn Ziaten. Cette dernière, partie civile au procès d’Abdelkader Merah, affirme avoir été victime de « violences volontaires » de la part d’un inconnu porteur d’une casquette lorsqu’elle a regagné la salle d’audience, le 2 novembre dernier, juste avant l’annonce du verdict.
Le témoin, âgé de 23 ans, a été conduit par les policiers de Charenton dans un commissariat parisien pour être entendu. Il n’a pas été placé en garde à vue. Pour l’heure, on ne connaît que sa version, succincte, de l’incident.
L’homme plaide le geste accidentel. Très sensibilisé, dit-il, à l’affaire Merah, il se rend au palais de justice le 2 novembre dernier. Dans la cohue, sur les marches de la salle d’audience, il est bousculé par un journaliste, poussant à son tour Latifa Ibn Ziaten. Il explique avoir voulu présenter ses excuses mais en avoir été empêché par un officier de sécurité. Ecarté du lieu de l’incident, l’homme aurait laissé son identité aux forces de l’ordre. Il pensait l’affaire close puisqu’il a pu, selon lui, présenter ensuite ses excuses à Latifa Ibn Ziaten. De sources concordantes, l’homme est proche de groupes activistes juifs.
L’incapacité totale de travail n’excédant pas huit jours, l’incident est considéré comme des « violences légères » et sanctionné à ce titre d’une contravention.
Invitée ILLICO sur LCI ET BFM, on l'entend parler d'un groupe de "jeunes juifs" qui auraient fait exprès de la bousculer car pour eux dit-elle "ils ont vu une femme voilée".
Or, la LDJ a mis en ligne la vidéo de cette bousculade et là, la vérité se déroule sous vos yeux ébahis.
Cette vidéo passe et repasse à vitesse normale PUIS IMAGE PAR IMAGE.
Non seulement il n'y avait pas DE GROUPE DE JUIFS mais un jeune juif portant une casquette qui ne l'a même pas touchée.
Il passe et se heurte légèrement à Latifa Ibn Ziaten sans que cela ne la ralentisse alors qu'elle se dirige vers l'escalier qui la mène à la salle d'audience.
Par contre, une telle aubaine pour une "islamiste modérée" était trop bonne à prendre.
Elle se précipite après une journée d'audience chez son médecin qui lui OCTROIE 6 JOURS D'ITT : INTERRUPTION TEMPORAIRE DE TRAVAIL.
Latifa Ibn Ziaten TRAVAILLE ? Depuis quand ? A qui devra-t-elle remettre cette ITT ? Son association bien garnie grâce aux deniers des sympathisants de la femme au hijab qui est LA SEULE VICTIME D'ABDELKADER MERAH !!!!
Elle est de plus en plus écœurante !
De plus, comment un jeune homme à peine entrevu devient dans sa bouche UN GROUPE DE JEUNES JUIFS ????
Une casquette cache toujours UN JUIF ?
Parlons-en des clichés arabo-musulmans !
De plus, il s'est retourné, le jeune "bousculeur" et s'est excusé d'avoir effleuré cette femme. Vu la configuration il était évident que comme sur un trottoir d'à peine moins d'un mètre de largeur on se touche. Or, c'est exactement ce qui s'est passé.
Je vous invite à aller sur le site de la LDJ pour aller voir cette vidéo qui dédouane COMPLETEMENT ce jeune "juif" qui l'aurait bousculé.
Le masque ne cesse de tomber concernant LATIFA IBN ZIATEN et cette dernière manipulation doit devenir le chant du cygne pour cette "entrepreneuse d'islamisation douce de France".
J'espère qu'après un tel mensonge, elle ne pourra plus se rendre en Israël et encore moins être encensée par des juifs que je vois en extase devant cette femme et oublieux que d'autres victimes ou plutôt parents de victimes ont au moins la décence et l'humilité de ne pas en faire des caisses et encore moins de l'argent sur les cadavres de leurs enfants.