Il fut un temps où les artistes israéliens et/ou juifs ne pouvaient se produire dans ce festival de bobos où il est bon de se montrer pour prouver qu'on est cultivés même si plus de la moitié des spectacles sont chiants comme la mort.
Cette année, le Festival n'a pas lésiné dans la fourniture de BENNES A MERDE et ont mis au programme un illustre inconnu du nom de Yohan Manca, supposé être un "artiste de théâtre contemporain".
Sacré bagage hein ? Ça en jette les aminches !
Sa "pièce" ? est dans la continuité de l'infâme papier d'un obscur écrivaillon à la solde de LIBÉRATION qui, au lendemain de la tuerie des enfants dans leur école de Toulouse OZARATORAH ainsi qu'un père de deux de ces pauvres gosses sont morts de la haine d'un arabo-musulman qui aurait du être sous les verrous si seulement la DGSI avait bien fait son travail.
Souvenez-vous : Libération proposait "DANS LA TÊTE D'UN TUEUR" Mohamed Merah, un article immonde pour tenter de comprendre ce pauvre opprimé de Mohamed qui, s'il l'avait vraiment été, s'est tapé tout de même de sacrées randonnées à travers le monde aux frais des différentes caisses pleines de fric que mettent les familles royales et autres frères musulmans au service de...l'islamisation par le djihad.
Tout le monde semble oublier le détail concernant ces tonneaux de pognon pour acheter des armes, aller et venir dans différents pays sans oublier les collections de Nike que ces djihadistes précautionneux achètent pour partir bien sapés au paradis d'Allah. Pas fous, les mecs se scotchent le zboub pour tout de suite passer aux affaires sérieuses avec les éternelles vierges qui les attendent au paradis.
Voyez ô lecteurs comment on présente cette daube qui fera parler du petit merdeux "artiste contemporain", je vous laisse juges :
Ainsi, le jeune metteur en scène Yohan Manca présente et joue Moi, la mort je l'aime comme vous aimez la vie, récit des dernières heures de Mohamed Merah, le terroriste islamiste qui a tué sept personnes en mars 2012. Un pari osé et réussi.
Sources ? FRANCE INFO ! Yes ! Tant que des juifs meurent pour la Palestine, qu'importe s'ils sont de petits enfants n'est ce pas...On réhabilite déjà Mohamed Merah ? PUTAIN FALLAIT LE FAIRE !
L'enfoiré donne des raisons au "travail psychologique" qu'il a du faire pour comprendre le "salaud de Merah".
"On est conscient que tout ça est bouillant et que c'est clivant. Évidemment, il y a des gens qui n'ont pas envie de voir ça, qui n'ont pas envie d'entendre ça, qui n'ont pas envie de se replonger dans ces affaires-là", concède le jeune metteur en scène. Il estime pourtant que c'est un travail nécessaire. En tant que comédien, apprivoiser le personnage a été assez complexe pour lui mais paradoxalement, il a trouvé que c'était "intéressant d'aller chercher chez les salauds" dans son travail.
Mouais...Pourquoi ne pas monter "bagatelle pour un massacre" de Céline ? Mieux encore "le protocole des sages de Sion" pour tenter de comprendre ce qu'a voulu faire la police du Tsar en chiant un faux dont se délectent pourtant encore des centaines de millions d'arabes et de néo-nazis sauce Soral ?
A moins que...Meilleure idée encore puisqu'il vient enfin de crever : L'AZYME DE SION de feu le Général Tlass, syrien qui fut à la tête du premier rasage en règle de Hama où plus de 70 000 civils périrent en quelques jours ?
Concernant cette grosse merde Tlass (puisse-t-il pourrir en enfer), sa princesse de fille chérie, Nahed Ojjeh, malgré son CV plus que pourri a tenté grâce à son énorme pognon (plusieurs milliards de dollars) hérité d'un vieux mari saoudien marchand d'armes de son vivant, de faire reconnaître son enculé de père comme une "pointure intellectuelle" et milita pour qu'il soit DOCTEUR HONORIS CAUSA DE LA SORBONNE ! Mouarf !
Ce fut à un cheveu près qu'elle faillit y arriver cette pétasse qui partageait son lit avec l'honorable Franz Olivier Gisbert du temps où elle possédait un hôtel privé sur la place des Vosges et dans lequel le tout Paris se précipitait afin d'y goûter mets et vins de qualité.
Trêve de bavardages...COMMENT PEUT ON SEULEMENT LAISSER UNE TELLE SALOPERIE ÊTRE JOUÉE AU FESTIVAL D'AVIGNON ?
Ça excite les connards qui se croient au-dessus du lot lorsqu'il s'agit de culture.
Que la culture soit populaire on s'en cogne. Qu'elle fasse l'apologie d'un enfoiré meurtrier alors que les cœurs saignent encore dans les poitrines des parents, ça me fout en rage !
Si les festivaliers goûtent ce genre de daube, c'est qu'ils se rendent complice d'apologie de crime de haine anti-juive, anti-patriotes (soldats).
A vous de fournir tous ces arguments et bien d'autres. AVIGNON NE DOIT PAS PRODUIRE DE MERDE. IL EN PRODUIT ASSEZ POUR RAJOUTER EN PLUS LE VIRUS DE LA HAINE !