BERNSTEIN CONTRE ROTH

[Nina]

Bernstein contre Roth

Publié le : 2 mars 2017

Admettez chers lecteurs, épris d’amour pour votre peuple et pour le miracle de la renaissance de sa patrie pluri-millénaire, que vos nerfs lâchent parfois à la lecture ou aux faits de certains juifs qualifiés de « pacifistes » pour certains et de gauchistes pour d’autres.

Au fond, comment les qualifier ?

Qu’est ce qui engendre chez ceux qui, fermement attachés au peuple juif, son histoire pour ne pas dire sa « saga » car au fond c’est vraiment une épopée incroyable qui rend les juifs et leur survivance un peuple d’exception.

L’antisémitisme mondial qui a réussi à s’infiltrer dans des zones protégées jusqu’alors comme aux USA, en Amérique Latine ou encore au Canada sans compter les effroyables disparitions de communautés juives entières en Europe, ne semblent encore pas émouvoir plus que cela les pleureuses qui viennent consciencieusement à Yad Vashem ou faire une déclaration lors des commémorations. « Oh ! Encore les juifs… » On s’en passerait les mecs…

La vie antisémite reprend son train-train quotidien et tant pis si une Mairesse de Paris, ose se pointer lors de « journées pour la mémoire de la Shoah » et décore un révisionniste patenté au point d’avoir commis un doctorat en la matière comme Mahmoud Abbas.

Malgré toutes ces souffrances, des hommes et des femmes se sont levés contre le racisme et l’antisémitisme. Ils ont créé de bout en bout des organisations qui viendraient au secours d’hommes et de femmes dont les vies étaient en danger. Ils ont offert, au nom du peuple dont ils étaient issus, une voie de salut pour beaucoup de citoyens du monde.

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C’est bien à partir de la souffrance et des massacres subis par le peuple juif qu’un homme comme Robert BERNSTEIN fonda HUMAN RIGHT WATCH.

Cette organisation non gouvernementale avait pour but de venir en aide à tous les citoyens du monde persécutés et ne jouissant pas des droits universels du citoyen élaborés par Pierre Cassin, un juif français et résistant avec l’aide d’une grande dame Eleanor Roosevelt.

Belle idée. Robert Bernstein voulait largement dépasser le seul combat contre l’antisémitisme via son ONG, ce qui est plus qu’honorable et en droite ligne avec le judaïsme.

Rattrapé par le temps, il fut normal que Bernstein passa la main pour que HRW, mondialement connue et ayant réussi dans bien des pays à pointer les absences de droits aux opposants ou à faire libérer des hommes et des femmes par la force du droit.

Ce que n’avait pas prévu Robert Bernstein pourtant et l’accabla de chagrin, ce fut sans l’ombre d’un doute la reprise en main de son Organisation par des juifs qui vouent une haine farouche à l’état d’Israel et, pire encore, ont entrepris par haine de soi sans doute, sa détestation au niveau mondial.

HRW est devenue sous la direction de Kenneth ROTH, juif honteux et pro-palestiniens obsessionnel, l’ONG la plus anti-israélienne qu’il soit.

Certains m’objecteront que Amnesty International et quelques autres ne sont pas mal non plus dès qu’il s’agit de « charger » Israël de tous les maux de la terre.

Parlons alors du nerf de la guerre.

Le retentissement d’une ONG comme Human Right Watch est proportionnel à l’argent dont elle dispose pour agir sur toute la planète.

Le « trésor de guerre » est très bien garni, c’est donc une assurance auprès des médias, des organismes onusiens et par conséquent le chouchou de mécènes richissimes comme les pays du Golfe par exemple…

Robert Bernstein s’est senti obligé de sortir de son silence lors de la guerre de Gaza 1.

Il prit connaissance du fameux rapport GOLDSTONE, autre juif antisémite vouant une haine à Israël que l’on peut qualifier de « pathologique » tant les phrases qu’il utilise dans son rapport ressemblent à s’y méprendre à certaines tournures de Mein Kampf et du « Protocole des sages de Sion ». Même dans sa superbe villa de Santa Barbara, il arbore fièrement le drapeau palestinien dans son jardin. On peut parfaitement être d’extrême gauche et mener une vie de nabab. Santa Barbara étant une ville estudiantine, le « professeur » Goldstone peut s’adonner à son sport favori, l’endoctrinement des classes supérieures et les futures élites de la nation.

A la lecture de ce rapport et des éditoriaux du New York Times qui abondaient dans le sens de Goldstone, Robert Bernstein décida qu’il était temps pour lui de cesser d’observer les événements. Il écrivit un long éditorial sur « la bible américaine » le NYT qu’il dut faire passer pour un droit de réponse en qualité de fondateur de Human Right Watch.

Puis, voyant que la maladie était encore plus grave qu’il ne pensait, Bernstein prit son bâton de pèlerin pour s’exprimer dans plusieurs campus et expliquer à quel point son ONG avait été détournée de sa fonction première : celle de dire la vérité.

S’ensuivit alors une lutte entre Bernstein et Roth. L’ancien, pur et honorable qui connait Israël et a réellement enquêté sur place les opérations de Tsahal et les rapports mensongers produits par Goldstone contresignés par Human Right Watch.

Vous trouverez une de ses allocutions sur le lien ci-dessous.

Extrait : « En réfléchissant à ce qui se passe sur les campus et au fait qu’ils soient aussi souvent hostiles à Israël, je pense qu’une des explications relève des encouragements qu’ils reçoivent des organisations qui défendent les Droits de l’Homme, y compris de celle que j’ai fondée, Human Rights Watch . Je me retrouve en profond désaccord avec la politique et les actions menées au Proche-Orient par Human Rights Watch ainsi qu’avec des organisations dont l’orientation est similaire, telles que Amnesty International et le Centre Carter… »

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On sent chez cet homme la douleur de voir son oeuvre méprisée, déshonorée et la peine immense que son peuple soit calomnié avec tant d’acharnement…par d’autres juifs !

Il est nécessaire de garder deux choses à l’esprit concernant Kenneth Roth et sa prise en main de Human Right Watch.
•Roth est un démocrate très à gauche et un technocrate qui voulait (il a réussi) approcher de très près les décisionnaires de l’administration Obama concernant Israël. Roth a tutoyé le ciel et son grand patron Obama qui a donné la mesure de son « désamour pour Israël ».
•Roth est un fan de Jimmy Carter et de sa fondation pour la paix dans laquelle « Israël
•apartheid est un refrain lancinant.
•Roth est aussi un ami intime de Georges Soros qui, bien qu’ayant d’autres ONG à enrichir dès qu’il s’agit de salir Israël a fait un don de 100 MILLIONS DE DOLLARS à Human Right Watch en 2010.
Il admet avoir une nette préférence pour HRW depuis que Kenneth Roth a repris les choses en mains.

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Lorsqu’il y a environ deux semaines le gouvernement israélien a refusé aux « enquêteurs » de HRW d’entrer en Israël, j’avoue avoir été non seulement agréablement surprise mais j’ai même pensé qu’enfin cet état que nous chérissons tant commençait tout juste à entrevoir la lumière.

Cette soudaine prise de conscience que nous appelions de nos vœux depuis si longtemps, nous en devons sans doute une partie de sa réalisation à la Ministre de la Justice Ayelet Shaked.

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Intelligente, cultivée, belle et passionnément sioniste, nous avons enfin des femmes de la trempe de Golda Meïr mais situées sur un échiquier politique plus… conforme à ce type de décisions.

Refouler des indésirables de BDS, d’ONG qui non seulement colportent des mensonges mais réussissent l’exploit de se gargariser « d’avoir eu Israël » auprès de partis politiques occidentaux dits de gauche, voilà qui est nouveau et redonne un air plus respirable en Eretz Israël.

Kenneth Roth n’a pas fini de nuire à l’état juif par tous les moyens (et il en dispose de beaucoup) possibles.

Le voilà sanctifié par BDS et JStreet ou encore les Black Lives Matter.

Comme il est étrange que tous ces démocrates juifs américains, sûrs de leur idéologie, ne soient jamais intéressés par les centaines de milliers de morts en Syrie, la dictature des Mollahs iraniens et leurs milliers de pendus, la répression au Tibet, la course à la théocratie fascisante d’une Turquie façon Erdogan et tant d’autres choses comme les centaines de millions d’hommes, femmes et enfants mourant de faim dans le monde ?

Quoi ? Israël seul les empêche de dormir ?

Ces « juifs honteux américains » se réclamant de la vraie foi c’est à dire « d’hommes de gauche et pacifistes » n’ont d’yeux et de compassion qu’envers les arabes des territoires qu’ils occupent illégalement en Judée et Samarie. Pas une seconde, il ne remettrait en question l’historicité inventée par un peuple n’ayant jamais existé avant 1970.

Ce sont les dignes descendants de Sultzberger, le patron du New York Times, qui, durant la Shoah et tout particulièrement durant l’horrible massacre du ghetto de Varsovie, demanda à ses rédacteurs de n’en faire mention qu’en PAGE 7 du journal.

« Nous sommes américains d’abord…juifs ensuite ! » Hurla-t-il comme un dément.

Inutile de se demander alors pourquoi les générations suivantes de juifs lisant le NYT portèrent en eux le germe de l’anti-sionisme primaire et accueillirent en fanfare le plus grand arnaqueur intellectuel arabe qui changera l’opinion des juifs américains : Edward Saïd.

Désormais, et aujourd’hui plus que jamais, la guerre des juifs n’est plus sur le terrain israélien. Elle a lieu aux Etats-Unis et grâce aux millions d’arabo-musulmans ayant pu s’installer et devenir des citoyens américains.
Bientôt, nous ne déplorerons plus uniquement des saccages de cimetières juifs mais des morts juifs. Peut-être que ce réveil douloureux est nécessaire ?

Certains feront croire qu’il s’agit des suprématistes blancs. Nous savons, nous en France, que les fameux identitaires ou affiliés ont des alliés dans ce genre de méfaits. Ils sont arabo-musulmans et africains-musulmans.

« Attention l’Amérique ! Observe bien la France, la Belgique et les pays scandinaves…nous sommes les modèles de ce qui va arriver très rapidement chez toi. »

Vous avez dit Trump ?

Oh…Désolée mais bien que le président soit tout disposé à ne pas laisser faire, comment agir lorsque votre sécurité intérieure (FBI) est infiltrée ?

Nina