Selon les trois éditorialistes du New York Times, la politique anti-islamiste de Donald Trump est une monumentale erreur.
Mais lorsqu'on s'attarde sur les inepties de ces trois babas cools made in New York, on a vraiment l'impression de ne pas vivre sur la même planète qu'eux.
Où étaient-ils ces braves théoriciens pro-musulmans lors des attentats du 11 Septembre 2001 ? Dans les Hamptons ? Sirotant quelques cocktails et devisant littérature ?
On atteint le fond de la connerie en lisant cette simple phrase :
Cette vision du monde emprunte à la thèse du «choc des civilisations» du politologue Samuel P. Huntington et combine des avertissements simples sur la violence extrémiste et des critiques générales sur l'Islam.
Il confond parfois des groupes terroristes comme Al-Qaïda et l'État islamique avec des groupes essentiellement non violents tels que les Frères musulmans et ses rejetons et, parfois, avec les 1,7 milliard de musulmans dans le monde. Dans ses formes plus extrêmes, ce point de vue favorise les conspirations sur l'infiltration du gouvernement et le danger que la charia, le code juridique de l'Islam, puissent prendre le relais aux États-Unis.
Qui est naïf ? Qui est malhonnête ? Qui est con au point de ranger "les frères musulmans et selon eux toutes sortes de groupes du même genre" dans la catégorie ISLAM MODÉRÉ ?
Soit ces types sont sciemment malhonnêtes et répandent un tissu de connerie afin de donner matière aux anti-Trump pour défiler aux USA et dans le reste du monde, soit ils sont vraiment incompétents et n'ont aucune notion d'histoire ce qui est encore plus grave.
Ce désir impérieux de jouer les Merkel et d'accepter tous les musulmans de la terre parce que selon eux la terre est à tout le monde, tient surtout du fait que ces hommes et femmes tenant ce discours n'ont pas encore goûter aux merveilles de la culture arabo-musulmane comme nous le faisons tous les jours, depuis des décennies en France et dans le reste d'une grande partie de l'Europe.
Hier, le 1er Février, le FBI fut appelé à maintes reprises pour causes de menaces à la bombe à New York et à Miami.
Il y a donc des militants américano-arabes qui ne peuvent souffrir que le grand Satan ne se laisse pas envahir complètement, aidés en cela par ces braves ricains nourris au maïs et au poulet lavé au chlore.
Les dizaines de milliers de "dissidents" iraniens qui ont envahi la côte Ouest se font entendre. Eux qui attendaient des jours meilleurs avec un nouveau régime à la place de la théocratie qu'ils ont fuit, militent désormais pour un rapprochement avec les Mollahs ?
N'y a-t-il pas quelque chose de bizarre dans cette réaction ? Pourquoi insister sur un pacte avec le guide suprême alors qu'ils se sont vite carapaté en 1979 après l'avènement de Khomeiny au pouvoir.
L'iranité aurait rattrapé ces braves dissidents ? Pourtant le régime n'a pas changé. C'est décidément bien étrange...
Concernant l'article du New York Times, faire mine d'ignorer que le PREMIER GROUPE TERRORISTE ISLAMIQUE MIS EN PLACE AU MONDE EST NE EN EGYPTE SOUS L'APPELLATION "FRÈRES MUSULMANS" (1920) et a accouché de tous les groupes comme Al Qaeda, Al Nosra, Jihad islamique, Hamas, Boko Haram et toute une fournée d'allumés islamistes, c'est tout bonnement de la DÉSINFORMATION.
C'est précisément cette hypocrisie et cette intox perpétuelle par les médias, les politiques qui font sortir de leurs gonds des Pascal Bruknet, des Finkielkraut, Georges Bensoussan, Boualem Sansal, Kamel Daoud, Wafa Sultan, Salman Rushdie et tant d'autres.
Eux, n'ont droit qu'aux fatwas sans que cela n'émeuvent ces braves éditorialistes de gauche américains, français ou autres.
C'est écœurant !
Ils pestent contre le décret de Trump interdisant aux ressortissants de 7 pays musulmans de posséder des visas d'entrée aux Etats-Unis mais ne mouftent absolument pas QU'AUCUN JUIF NE PUISSE ENTRER DANS TOUS LES PAYS ARABES ! Même pas en Algérie pour ne serait-ce que se recueillir sur les tombes de leurs parents.
Pour les juifs...c'est normal ! Pour les musulmans, on devrait ouvrir toutes grandes les frontières. Le sens de l'équité ne les étouffe pas des masses à ces pauvres types.
Alors il faut attendre...
Attendre que toutes ces associations juives américaines qui ne cessent de manifester pour que des milliers de musulmans puissent s'installer aux USA prennent en pleine gueule les douceurs que ne manqueront pas de leur infliger ces futurs américains musulmans.
Ils le savent déjà puisque presque toutes les Universités américaines accusent des taux d'actes antisémites en très nette augmentation. Attention...par les "étudiants pour la solidarité avec la Palestine", tous arabo-musulmans et leurs nouveaux amis convertis.
Greenblatt, le président d'ADL (anti-defamation League) est un de ces imbéciles qui milite tous les jours pour que le décret Trump soit aboli.
S'il avait quelques dossiers antisémites sous le coude, il va lui falloir recruter. Ses protégés vont s'empresser (ils ont déjà commencé du reste) de lui donner beaucoup de travail.
Il sera trop tard. Il est trop tard. Ces musulmans sont américains désormais. Ils donnent le ton à Hollywood et dans tous les cercles qui font l'opinion.
Il ne reste à Trump qu'une seule option afin de faire cesser ces manifestations à répétition : faire sortir en masse SES électeurs.
Eux aussi doivent montrer que les USA restent une démocratie et qu'ils n'avaient pas un flingue sur la tempe pour voter pour Trump ou contre Hillary Clinton.