LA JOUISSANCE MÉDIATIQUE SUR L'AFFAIRE AZRIA

LA JOUISSANCE MÉDIATIQUE SUR L'AFFAIRE AZRIA

Messagepar Nina » Janvier 5th, 2017, 10:07 am

Le verdict à peine tombé sur l'affaire du soldat Elor Azria qui a abattu un terroriste déjà à terre comble d'aise, de joie non dissimulée voire d'exaltation toute la presse française et américaine.

Ce matin, sur France culture, on s'est fendu d'un billet parlant de l'éthique de Tsahal largement bafouée depuis 1967, depuis que cette armée occupe illégalement la Cis-Jordanie.

Tous les poncifs anti-israéliens y sont passés et on sentait que toute la rédaction de France-Culture (sur France Inter aussi) était à la fête.

Décidément, c'en est trop ! Trop de bonnes choses arrivent aux éternels adorateurs des arabes occupant Gaza et la Judée Samarie.

Après le vote de l'ONU et l'abstention de "l'allié" indéfectible américain, le monde est à la fête !

Toute cette jouissance malsaine dans la presse laisse rêveur. Pourquoi tant d'acharnement sinon parce que se profilent les présidentielles, la conférence du 15 janvier prochain sur la "Palestine" et enfin pour surtout planquer toutes les exactions, massacres de civils syriens et irakiens.

L'éternel cache-sexe de la politique mondiale reste Israël ! Avec ce petit état juif, on peut tout se permettre et diriger les yeux du monde et ses horreurs.

Un jeune soldat de 19 ans condamné par un tribunal militaire parce qu'il aura achevé un terroriste qui venait de poignarder 2 militaires de Tsahal, ce n'est pas pardonnable.

Ce qui l'est par contre, ce sont les "actes de résistance" puisqu'il faut leur donner un nom des terroristes arabes qui TOUS LES JOURS essaient de tuer des soldats ou des civils israéliens.

Nous sommes dans la norme selon la presse largement pro-palestinienne mondiale et surtout française.

Soyons donc patients et attendons de voir si nos braves flics de France n'auront pas la gâchette nerveuse lorsqu'un brave "compatriote" nourri d'anti-koufarisme tentera de le tuer.

Cela a déjà eu lieu et, à peine après avoir hurlé "Allahouakbar", le soldat français tira sans sommation sur le mahométan qui n'était même pas armé. A-t-on eu la réunion d'une cour martiale par la suite ?
Et non ! Le soldat français a pris peur et a tiré sans discernement.

Je parie que nous aurons plusieurs cas de ce genre sous peu. A moins que, les élections arrivant à grands pas, les "choyés représentants de l'islam de France" calment le jeu en demandant à leurs ouailles de ne point trop choquer les futurs dhimmis.

Le cas Elor Azria devrait tous nous interpeller. Il est symptomatique d'un schisme dans l'armée israélienne trop soumise au diktat des ONG et de l'image qu'a fabriqué depuis des décennies la presse internationale.

Que penser de l'impartialité du juge en la matière ? Si, cette femme qui a estimé que le soldat était coupable d'homicide, n'a-t-elle pas été orientée d'une façon étrange par les prouesses de sa sœur par exemple ?

On est en droit de se poser la question.

La sœur de la juge d'Elor Azria a un sacré pedigree :

Tali Fahima (en hébreu : טלי פחימה; née en 1976) est une femme israélienne née dans une famille juive originaire d’Algérie et convertie à l’Islam le 7 juin 2010, à la mosquée d’Umm al-Fahm. Tali a été jugée et condamnée pour ses contacts avec Zakaria Zubeidi, chef des Brigades des martyrs d’Al-Aqsa à Jénine. Elle considère sa nationalité comme palestinienne.
Elle a grandi dans une famille monoparentale à Qiryat Gat, une petite ville du sud d’Israël.
Elle a été, jusqu’en 2003, une partisane du Likoud ; puis, à la suite de la lecture d’une interview dans laquelle Zubeidi parle de sa transformation d’un militant pour la paix en un combattant recherché, elle a été intriguée. Après avoir retrouvé le numéro de téléphone de Zubeidi, Tali a parlé avec lui plusieurs fois. Lorsqu’elle a appris que Zubeidi était à la tête d’une liste de personnes à assassiner préparée par les services de sécurité israéliens, elle a décidé d’aller à Jénine et de vivre dans la maison de Zubeidi en tant que bouclier humain.
Elle a participé au projet des enfants palestiniens à Jénine et est apparue dans le film documentaire Les enfants d’Arna (en anglais, Arna’s Children, réalisé par Juliano Mer-Khamis et Danniel Danniel), avec Zubeidi, avant qu’il ne soit emprisonné. Elle n’a pas nié qu’elle a rencontré plusieurs fois Zubeidi à Jénine, mais elle a nié toute participation dans des activités armées. En mars 2004, elle a déclaré qu’elle était prête pour agir comme un bouclier humain pour protéger Zubeidi. Toutefois, elle a nié, tout comme Zubeidi, qu’il y avait une relation d’amour entre eux.
Le 8 août 2004, Fahima a été arrêtée, afin d’être interrogée par des agents des services de sécurité puis placée en détention administrative pendant trois mois. Elle a été inculpé en décembre 2004 et inculpé d’assistance à l’ennemi en temps de guerre1 Le 23 décembre 2005, elle a plaidé coupable pour des accusations moins graves, admettant avoir eues des contacts avec un agent étranger avec l’intention de nuire à la sécurité. Elle a également admis avoir transmis des informations à l’ennemi, et violé une ordonnance interdisant l’entrée d’israéliens dans les territoires contrôlés par l’Autorité palestinienne. Les accusations les plus graves, d’aide à un ennemi en temps de guerre, soutien à une organisation terroriste et possession d’armes ont été abandonnées. Elle a été condamnée à une peine de prison de trois ans.
Tali Fahima a été libérée en janvier 2007, pour bonne conduite, avec un an de moins que sa peine initiale. Cependant, elle n’a pas le droit de quitter le pays, ni de contacter des étrangers, ni d’entrer dans les territoires de Cisjordanie sous contrôle palestinien – des restrictions similaires à celles imposées à Mordechai Vanunu après avoir été libéré de prison.
Le 23 avril 2007, elle a participé à une cérémonie alternative d’allumage de torche pour le Jour de l’Indépendance d’Israël, allumant une torche en l’honneur de Zubeidi.


Dans les temps bibliques, la période des juges fut sans doute une des plus intéressantes et devrait être étudiée d'un peu plus près.

Certains juges jeûnaient parfois plusieurs jours avant de prendre de graves décisions sur la sentence à faire appliquer aux prévenus. Ils s'éloignaient du monde pour éviter la tentation d'être tourmentés, influencés par le public.

Je ne crois pas que les juges et surtout celle qui a prononcé le verdict aient pris une décision vraiment impartiale.

Comment ne pas prendre en compte la dimension psychologique de l'affaire ? De la nervosité et de la fatigue de ces soldats harcelés nuits et jours par des meurtriers demeurant à quelques mètres d'eux ?

Bien qu'ils soient armés, ils doivent d'abord demander la permission de tirer à leurs supérieurs.

La jeunesse du soldat, son patriotisme, sa colère et la sauvegarde de ses frères d'arme n'ont pas non plus été pris en compte.

A la frontière avec Gaza, l'unité de mon propre fils fut prise sous le feu par des membres du djihad islamique.

Venus par ambulance du croissant rouge, les terroristes ont ouvert le feu sur les soldats et ont réussi à en blesser quelques uns.

Mon fils qui avait en ligne de mire tout le groupe qui s'était réfugié dans l'ambulance servant de transport de troupes terroristes, a appelé son capitaine en lui disant qu'il pouvait tous les avoir avec son lance-missile. Il avait lui aussi 19 ans et venait de connaître son premier baptême du feu.

Le capitaine refusa. "Ils sont dans une ambulance et même s'ils viennent de nous tirer dessus, tu ne peux riposter."

Il s'abstint mais la rage est montée en lui. Son premier réflexe allait vers la sauvegarde de ses frères d'armes. C'était sa famille qu'on avait tenté de tuer. Il s'est précipité pour prendre des nouvelles de toute son unité puis s'est planqué pour verser quelques larmes de rage. On avait bien failli tuer ses frères ce jour là et le pire est qu'il ne pouvait riposter.

"Je prendrai une balle pour toi !" C'est comme ça qu'on se dit je t'aime entre frères d'arme dans Tsahal.

Elor Azria a du éprouver ce même sentiment : rage, peur, désespoir et impuissance devant ce harcèlement permanent. Il a du lui aussi avoir peur non pour lui-même mais pour sa famille, son unité.

Le message que vient d'envoyer la cour martiale israélienne aux soldats combattants est clair : "vous ne pouvez tirer qu'en cas ultime de défense". Mais où est réellement le point de non-retour lorsque devant vous se dressent des terroristes qui ne songent qu'à une seule chose, jour après jour : tuer des juifs ?

Et puis, après tous ces soldats morts pour protéger le pays, ces civils égorgés dans leur sommeil, ces familles décimées par des fous d'Allah qui iront en prison et seront échangés à la première occasion, où est la justice ?

Une erreur de jugement d'un soldat (si erreur il y a vraiment) vaut-elle la peine que le soldat Azria soit criminalisé ?

Au nom de tous ces jeunes soldats morts, kidnappés, agressés pour avoir défendu les citoyens de leur pays, je trouve inique le traitement infligé à Elor Azria mais pire encore, lorsque la famille du terroriste achevé ose réclamer que ledit soldat soit traduit devant la Cour Pénale Internationale, je me demande pourquoi on n'a toujours pas appliqué la règle en vigueur : la destruction de leur maison ainsi que celle de son complice.

A cause de l'image d’Israël ? Laissez-moi sourire. L'image est depuis le moyen-âge la pire qui soit. Nous sommes restés dans la tête des antisémites pseudo-antisionistes des tueurs d'enfants, des tueurs de Jésus, un peuple qu'on peut malmener jusqu'à la fin des temps.

Le pire, c'est que le monde entier se cotise pour que les familles des assassins de juifs soient rémunérées par la grâce de l'Autorité Palestinienne qui œuvrera au passage pour en faire des martyrs de la cause et attribuera des noms de rues, de places et d'école à ces meurtriers. Ce permis de tuer est accordé par l'ONU et tous les pays donateurs arabes et occidentaux.

On se cotise toujours pour tuer le peuple juif. C'est une vieille ONG internationale qui trouve toujours des ressources pour la cause.
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Re: LA JOUISSANCE MÉDIATIQUE SUR L'AFFAIRE AZRIA

Messagepar Kristiane » Janvier 5th, 2017, 11:56 am

Tout est révoltant, écoeurant dans ce procès et ce jugement.

Israël est en situation de guerre. L'acte de ce soldat aurait dû être traité confidentiellement au sein de Tsahal et remettre l'acte dans le contexte de guerre.

Maintenant, même gracié ce que nous espérons tous, quel avenir pour ce jeune homme ? Il a une condamnation à mort s'il quitte les frontières d'Israël. Un Saddam Rushdie mais sans protection policière.

Inutile de souhaiter une vie d'enfer à cette juge : elle vit dans un cocon privilégié "d'entre soi", elle n'entendra même pas la révolte de son peuple. Elle se satisfera jusqu'à l'orgasme des applaudissements des médias de gauche israéliens et surtout occidentaux.

Israël en sort diminué à la face du monde, c'est la volonté des gauchistes israéliens. C'est un jugement de haine de soi incitant à l'extrêmisme (de tous côtés d'ailleurs).
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Re: LA JOUISSANCE MÉDIATIQUE SUR L'AFFAIRE AZRIA

Messagepar Kristiane » Janvier 5th, 2017, 6:33 pm

Nina : tu peux retirer la partie sur la sœur du juge Tali Fahima : c'est un hoax !
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