Il n'empêche que ce fait-divers vieux de trois ans se termine mal pour l'accusé, un père d'une trentaine d'années qui a violé sa propre petite fille âgée de 11 mois.
Version Midi Libre :
L e père d'un bébé de 11 mois violé en juillet 2013 a été condamné à 18 ans de prison.
En juillet 2013, les médecins de l'hôpital de Nîmes avaient découvert des lésions dans l'anus d'un bébé âgé de 11 mois. Les soupçons s'étaient portés sur le père, Samir, qui avait avoué en garde à vue avant de se rétracter.
Jugé depuis jeudi devant la Cour d'Assises du Gard, l'accusé défendu par Me Aoudia et Nougier a nié avoir commis cet acte horrible. Des traces de sang avaient pourtant été décelées sur divers objets à son domicile.
Ce vendredi après-midi, le verdict est tombé. Samir a été condamné à 18 ans de prison, conformément aux réquisitions de l'avocat général.
Version Détective : attention ça pique les yeux.
11/06/16 – Nîmes.
Le nourrisson souffrait de “lésions suspectes au niveau de l’anus“.
Depuis hier matin, la Cour d’assises de Nîmes s’intéressait à une affaire particulièrement sordide. L’homme jugé était un père de famille de 30 ans accusé d’avoir commis – ou tenté de commettre – des actes de pénétration sexuelle sur sa fillette de 11 mois…
Le drame s’est noué le 1er juillet 2013 dans un petit appartement du centre-ville de Nîmes, dans le Gard. Ce jour-là, vers 17h30, notre homme, prénommé Samir, contacte sa femme Kharfiya partie faire des courses.
Il lui demande de revenir à maison en urgence à cause, dit-il, d’un “problème avec leur fille“, une enfant âgée de moins d’un an. Lorsqu’elle arrive enfin au domicile, la maman constate alors que son bébé souffre de graves blessures au niveau des parties intimes…
Alors que la fillette est conduite aux urgences pédiatriques afin d’être examinée puis opérée, un médecin-expert mandaté par la justice indique finalement que cet enfant souffrait de “lésions suspectes au niveau de l’anus“. Ces fissures ne laisseraient apparemment guère de place au doute : selon lui, la fillette a bel-et-bien été victime de mutilations sexuelles ! Aux enquêteurs, ce médecin parlera même de “massacre“…
Si l’enquête a permis de démontrer qu’avant de contacter son épouse en urgence, le père de famille était en train de regarder des films pornographiques sur le net, ce dernier a d’abord nié farouchement les faits.
C’est en allant “changer la couche de sa fille” qu’il a remarqué qu’il y avait “du sang dans ses selles“, a-t-il déclaré aux policiers lors de sa garde-à-vue. Cependant, selon le juge d’instruction chargé de cette sinistre affaire, l’homme a finalement avoué être l’auteur de ces mutilations à trois reprises au cours d’une confrontation organisée avec son épouse.[/color]
Devant le tribunal, Samir ne se démonte pourtant pas pour autant. Il jure que ses aveux ont été sortis de leur contexte. Il clame haut et fort son innocence et même mieux : malgré la gravité des faits qui lui sont reprochés, il reste soutenu dans cette affaire par sa propre épouse !
La cour d’assises du Gard n’en a finalement pas tenu compte. Ce vendredi, en fin d’après-midi, conformément aux réquisitions du procureur, les jurés l’ont condamné à 18 ans de réclusion criminelle.
Que conclure ? Que d'autres tarés non-musulmans font aussi ces horreurs ? Oui, c'est vrai.
Le problème pourtant est récurrent dans les sociétés musulmanes. La permissivité de ces viols de nourrissons a même été clairement énoncée dans le livre vert de Khomeiny.
Toute une série de perversions sexuelles a été écrite et décrite par le menu par le Guide de la révolution. Certains détails glacent le sang à leur lecture comme "le droit de prendre du plaisir avec un nourrisson âgé d'au moins 6 mois mais uniquement anal si c'est une fille afin qu'elle puisse arriver vierge pour son mariage".
Ce type de viols pédophiles est tabou dans les sociétés occidentales. Ce sont des crimes passibles des assises contrairement à l'omerta de pays arabes pseudo-occidentalisés comme le Maroc ou l'Algérie.
Les familles se taisent par honte de ne pouvoir caser leurs filles ou fils plus tard. De plus, les tribunaux de la charia trouveraient quelques jugements antérieurs défendant le pervers qui aura été traîné en justice. On n'en sort jamais.
Le cas de cette pauvre fille obligée d'épouser son violeur et qui s'est donnée la mort au Maroc...Combien sont-elles à n'avoir pas osé en parler ? Si elles l'ont fait, leurs propres mères les ont renié par crainte du jugement des autres et toujours pour ne plus pouvoir la caser.
Ce type, ce Samir qui vient d'écoper de 18 ans est une ordure finie. En taule, il jouera au repenti puis appellera l'aumônier musulman un temps pour se radicaliser plus tard...Il a le temps maintenant.
Qu'il crève !