Tous les canards et toutes les rédactions télé et radio possèdent des « connards-alibis ».
Pour Causeur dont la réputation est pourtant entachée par l’establishment journaleux comme un média néo-réac, on a aussi le « connard-alibi ».
Le problème est que la sous-merde de service est là depuis le début et que pour faire partir une tache, c’est parfois vachement difficile. Y a des trucs qui partent pas comme on dit. Faut carrément se résoudre à reteindre le vêtement chéri ou virer la housse de canapé.
Pour Causeur, la tache c’est Jérôme Leroy. Il vient de chier un truc qui pue vraiment mais je soupçonne le gros de vouloir susciter des commentaires pour justifier sa présence sur le journal d’Elisabeth Lévy.
C’est que le Stalinou de service offre tout de même la caution morale auprès des autres qui font l’opinion, du pluralisme de façade.
Il s’agit de ne pas trop se discréditer surtout en période d’extrême violence.
Le gros Jérôme, écrivain de polar, connu dans le petit cercle des buveurs du « Flore » et autres cafés intellos branchés de la rive gauche, avait besoin de se refaire.
Le boudin du Nord, ex-prof en zone sensible qui a du sans doute se carapater en loucedé pour échapper aux Aïsha aguichantes et Momo abrutis de ses classes sensibles, vient de se commettre parce qu’il en a marre qu’on ne cause que des autres « confrères » de Causeur.
Pour ce faire, le gros lard reprend les mêmes armes qu’il utilisait du temps où tout le monde pouvait lui rentrer dedans et que c’était gratos.
Rahhh ces nuits où on pouvait lui bouffer le communisme sur le dos sans censure, c’était fendard.
Bon, pour la petite histoire, il y en avait d'autres de tarés : Un mec qui officie toujours mais de loin en loin selon mes sources et qui se faisait passer pour une gonzesse qui adorait fouetter ses amants. Rahhh quelle tache ce con.
Puis un autre, simple lecteur, qui nous racontait les nuits chaudes passées dans le cul des barbus du Hamas à Gaza ou dans ceux de ces simples montagnards irakiens bien heureux de n'avoir pas à se faire une chèvre lorsqu’il les visitait. Le spéléologues des culs que je l'avais renommé le mec.
Il défendait bec et ongle et surtout culs et bites que ces barbus d'allahouaks étaient des "incompris" par nos sociétés désacralisées. Ben voyons...Il est vrai que les barbus aiment se faire mettre en douce mais décapitent les pédés en public pour le bien de l'islam ! Miskine...
Le gros Leroy donc, va être vachement content. Il m’aura obligé d’aller lire sa dernière daube sur Causeur et là…les aminches, autant vous dire qu’il m’a un chouille énervé ainsi que d’autres potes à moi.
Voilà que ce mecqueton élevé à l’Internationale mais baisant la bourgeoise parce que les « congés payés ça sent moins bon », nous refait le coup de l’Amérique le grand Satan au service du grand Kapital, est aussi nocive que tous les bédouins merdiques qui ne vivent qu’en Allah ouakbar.
WHAT ?
C’est à péter de rire quand on connait les goûts de Leroy.
Tous ses polars préférés sont ricains. Comme James Ellroy qui a viré quasiment archi-républicain et qui en a plein le cul que son Amérique à lui soit livrée à des tocards qui veulent vous revoiler les gonzesses et vous faire chier jusque dans vos boîtes à partouze, est de ceux-là.
Jérôme Leroy souffre du syndrome des communistes archi-cons qui vont mater des films ricains dans des zones où les camarades ne peuvent pas les gauler. Pourtant il ne risque plus rien ce naze.
Du moins, jusque dans les années 80 ça se faisait encore les aminches.
Le pauvre Fred Chichin (Rita Mitzuko), compagnon de Ringer et guitariste génial, en parlait juste avant sa mort en évoquant son père, membre du parti avant d’avoir appris à marcher.
« Avec mon père communiste, on devait se taper de grandes balades avant de trouver un cinéma où les camarades du parti ne pouvaient pas nous trouver. On allait regarder des westerns, la quintessence de l’Amérique qui pue au Parti communiste. »
Dans son caca au titre « polardien », « TERMINUS ORLANDO » le billettiste-alibi de service y va de sa haine de soi. Ouais ouais… « Comme les juifs qui se renient dites donc ».
Il était temps pour le stalinou de Causeur de nous chier un gros étron sur le Grand Satan et de trouver des circonstances atténuantes sur le tueur d’Orlando.
Ok, l’islamiste Omar Shateen, pédé comme un phoque a tué une cinquantaine de LGBT dans une boîte de Floride MAIS….ATTENTION LES AMINCHES….les républicains comme Trump ou Cruz AURAIENT PU (ou bien sûr un de leurs disciples) faire exactement la même chose que ce taré.
Le christianisme évangélique pur et dur peut aussi accoucher de monstres comme les musulmans.
Yeah ! I’m telling you, the guy is fucked up…he’s commy man !
Le moment où Leroy nous prend vraiment pour de grosses truffes et ose raisonner comme un arabe qui vient de débarquer de l’Université Lummumba à Moscou (université pour le quart monde. Mahmoud Abbas a eu un doctorat là-bas...c'est dire ! ) c’est quand il écrit :
Ce n’est pas du tout comme si les USA n’avaient pas une longue histoire de tueries de masse qui n’avaient rien à voir avec l’Islam et beaucoup avec leur refoulement puritain qui se lâche dans une des pires pornographies qui soit, avec la violence de leurs rapports sociaux et avec le culte du cow-boy qui confond son membre viril et son flingue.
Voir un Marco Rubio pleurer sur les gays, cela ferait rire si ça ne donnait pas envie de pleurer. On oublie que si les Rubio, les Ted Cruz avaient le pouvoir aux USA, -et même un Trump s’il y trouve son intérêt, ils seraient tout à fait capable de transformer leur pays en une théocratie qui pourrait faire concurrence sans problème à nos amis saoudiens.
Mais ouaiche que les USA ont fait de vrais massacres. Ok. Tout comme les gaulois, les brittons et les schleuh et tout plein de pourraves sur la planète.
Disons que les massacres ricains ont quand même vachement diminué depuis des lustres et que des contre-pouvoirs se sont installés pour parfois le pire…La défense des 3è chiottes pour transgenres, moi ça me gonfle.
Je ne veux même pas m’attarder sur la différence fondamentale entre les super chrétiens d’Amérique et les super-musulmans d’aujourd’hui, l’actualité est assez facile à décrypter.
Que TOUS les musulmans de la planète et leur dogme pourri jusqu’à la moelle, soient incapables de produire ne serait-ce que la moitié de la Picardie en matière littéraire devrait suffire à ma démonstration.
Nan ! Ce qui coince, c’est que des connards comme Jérôme Leroy, par ennui sans doute, par hyper égocentrisme, se sentent obligés d’aller chier des trucs aussi dégueulasses.
Le pire, c’est qu’il a réussi. Le gros lard voulait des commentaires ? Il en a.
D’habitude, même en répondant à certains, en faisant de « l’animation » comme on dit, il fait très très peu de vague le pauvret.
Vu ce qu’on traverse en ce moment, sevrés de « révélations » sur les terroristes, même BFM se croit obligé de faire venir un Jérôme Leroy de temps en temps sur son plateau.
On veut « aérer » le débat. Mouahahhaha
Dernièrement, on a eu un sociologue (le genre de truc qui ne sert à rien sinon à constater), du nom de Michel Fize.
Hallucinant ! Le mec fait son Leroy et estime que tout ceci est bien regrettable (les attentats terroristes) mais qu’il faut chercher POURQUOI ces pauvres gamins se radicalisent.
Invitez-moi bordel !
Promis ! Je causerai pas vulgos !
Je sais pourquoi et je n’irai pas vous inventer des putains d’alibis à la con qui ne serviront à rien sinon à conforter ces abrutis djihadistes qu’ils sont à plaindre !
Parce que ce sont des gros cons. Parce qu’ils sont élevés aux grands frères et que le daron s’est fait la malle pour aller épouser son quota de fatmas comme le Coran le préconise.
Moralité, c’est à la république qu’incombe le devoir d’élever des milliers de moutards qui nous coûtent un bras en allocs et en zonzons archi-pleines.
Et parce que nous ne pouvons vivre avec des gens qui ont une mentalité de bédouins et confondent « califat » avec « pacte républicain ».
Leur haine de la France me fait chier. Leur haine du kouffar m’emmerde. Leur haine de tout ce qui n’est pas comme eux n’a de racines que dans leur dogme et coutumes INSOLUBLES dans nos démocraties.
Le gros Leroy et ses raccourcis foireux nous ramènent à la guerre froide où tout était beau, grand et juste aux pays des goulags alors qu’on se gavait de bouquins, de cinoche, de pop, rock et pilules contraceptives.
L’alibi-connard-de-Causeur devient un tantinet révisionniste mais qu’attendre d’autre d’un communiste qui a son rond de serviette au Flore ?