Sa permissivité vis à vis du modèle multiculturel pour ne pas dire essentiellement musulman, m'a toujours fait enrager.
Les affaires se suivent et se ressemblent mais les pouvoirs publics uniquement aux ordres de la City n'ont jamais levé le petit doigt pour endiguer les phénomènes de criminalité, de racisme, d'antisémitisme, de sexisme en Angleterre.
Les réseaux pédophiles dans des régions entières aux mains d'Algériens, de Pakistanais et d'Afghans et comptant des centaines de victimes, n'ont même pas fait sortir de leurs gonds les flegmatiques anglais.
L'heure est à la connerie fondamentale consistant sous prétexte d'anti-racisme (comme en France du reste) à laisser faire les pires horreurs sur le sol britannique.
Nous n'en sommes pas loin non plus en France puisque l'état de droit n'existe pratiquement plus dans des banlieues et même des grandes villes.
Le mouvement BDS, très à l'aise en Grande-Bretagne grâce aux immenses minorités musulmanes du pays et au parti Labour qui a longtemps traîné la patte avant les élections à la Marie de Londres, vient de se faire mettre en beauté pour la seconde fois.
C'est fou ce que les élections ont de bon, l'espace de quelques mois...Les politicards se sentent obligés de remettre à leurs places quelques radicaux de type nazi ET MUSULMANS POUR LEUR IMMENSE MAJORITÉ.
Certains ont même été exclus pour leurs expressions franches du collier du type "Les juifs sont en train de commettre un génocide envers les musulmans !".
Avant les juifs ne voulaient tuer que tous les palestiniens, désormais, ce sont tous les musulmans ! Ben voyons !!!
Voulant imiter leurs amis de l'état islamique, ces immenses connards et connasses émargeant au Labour, ne prennent même plus la peine de déclarer cela entre "affranchis" mais sur leurs pages Facebook ou tweeter.
Et hop ! Copies d'écran et ces nazes se font éjecter dans le meilleur des cas. Pour d'autres, on s'arrange pour que ces "cris du cœur" disparaissent avant qu'un journaliste mal-intentionné ne passe par là. Ce qui revient à dire que beaucoup de dégénérés antisémites passent au travers des mailles du filet.
Dans tout ce merdier indescriptible, la Grande Bretagne accuse des taux records d'actes antisémites.
Si, comme en France, des hordes de gauchistes et de musulmans vous agressent toutes les semaines par des manifestations pourries, il devient "normal" que les brittons pensent qu'effectivement Israel est un pays d'apartheid.
Les campus universitaires anglais ne sont pas épargnés. Gangrenés par la peste islamique, les seules résolutions émanant des cercles estudiantins ressemblent à s'y méprendre à celles de l'ONU.
"Israel est le seul sujet de préoccupation et le seul endroit méritant des condamnations".
Or, une université en a eu plein le cul ! Celle de Lincoln dans le Lincolnshire.
A une confortable majorité, le mouvement BDS et le boycott d’Israël ont été DÉSAVOUES par les étudiants.
Mieux encore, les représentants du syndicat des étudiants de l'université de Lincoln ont fait part de leur intention de se retirer de l'Union Nationale des Etudiants ( NUS équivalent du MNEF français).
Bel effort qui a fait un peu trembler les représentants de l'UNE puisque cela voudra dire qu'outre un désaveu d'une de leurs universités, les finances seront en baisse.
Aujourd'hui, une autre victoire de ce type vient encore à point :
Le syndicat des étudiants de l’université de Newcastle en Grande-Bretagne a voté cette semaine pour couper les liens avec l’Union nationale des étudiants (NUS) après que le groupe de coordination a élu présidente une femme accusée d’antisémitisme.
On ne rigole plus.
Même en faisant le ménage, le Labour ne peut indéfiniment planquer ses antisémites sous prétexte de faire du chiffre avec ses militants pour la plupart musulmans.
Les motivations des étudiants de ces deux universités sont claires :
Ces deux décisions font suite à l’élection controversée de Malia Bouattia comme présidente de la NUS, première dirigeante musulmane noire du groupe.
Bouattia, une activiste du mouvement Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS), a déjà plaidé en faveur de la violence palestinienne contre les Israéliens, et a refusé de condamner le groupe terroriste Etat islamique. Son élection le 21 avril a suscité des allégations d’antisémitisme et a généralisé la critique de la NUS.
Enfin ? Il faut rester vigilants, les retournements sont aussi prévisibles, nous sommes dans la perfide Albion qui ne veux et ne peut (en plein référendum du Breixit), se mettre à dos les bons gros bédouins ainsi que les pakistanais et leurs enfants faisant leurs études en Angleterre.
Combien de Malia Bouattia dans les instances universitaires ? Beaucoup. Hélas !
Mais toute médaille a son revers heureusement. Ces universités jadis prestigieuses commencent à perdre en places dans les classements mondiaux.
Laissons Oxford et Cambridge entre les mains de ces enragés anti-juifs et je puis garantir dans moins de 10 ans une sévère dégringolade.
Tout se paie.