Plus de 25 municipalités espagnoles pratiquent le boycott d’Israël, de même que 1 500 universitaires et chercheurs dans le pays. Un nombre croissant de villes, d’institutions, de personnalités espagnoles, prennent leurs distances de manière publique avec l’état juif. Rappel des chiffres clés de cette campagne de boycott ibérique.
Les villes impliquées dans la campagne BDS en Espagne ne cessent d’augmenter. En plus de Seville, Badalone, Terrassa, Santiago de Compostela, Cabildo de Gran Canaria vient de les rejoindre. A l’échelle du pays :
1. En 2014 plus de 1 400 enseignants d’universités et de chercheurs espagnols (comprenant la Catalogne et le Pays Basque) ont adhéré au mouvement anti-israélien BDS,
2. En mai dernier, la chanteuse espagnole Marinah Abad a annulé un concert en Israël,
3. En juin dernier, c’est toute la faculté d’histoire & géographie de l’université de Valence qui a adopté la résolution BDS, et le 17 décembre dernier l’Université Autonome de Barcelone (UAB) a suivi le mouvement de boycott.
4. En octobre 2015, le club de football du FC Seville a refusé une offre d’un montant de 5 million d’euros par haine d’Israël, qui souhaitait afficher une publicité sur les maillots de ses joueurs.
Enfin, une délégation de BDS d’Afrique du Sud vient de faire une tournée de conférences dans toute l’Espagne, avec le tapis rouge, les meetings s’étant déroulés à l’invitation de municipalités, d’institutions gouvernementales et diplomatiques.
L'Espagne se bat pour être le premier dans le peloton des pays européens les plus antisémites.
Même les homos espagnols boycottent les homos israéliens. Peut-être qu'en douce ils vont à Tel Aviv pour y vivre des nuits chaudasses mais dès qu'il s'agit de se situer, ce sont les arabes qui gagnent.
Pourtant, qui ignore aujourd'hui ce que les arabes réservent aux gays dans leurs pays, dans leurs cités où ils se trouvent ?
Puisque l'Espagne depuis quelques années s'étouffe dans les problèmes économiques, souhaitons que cela continue. Personnellement j'espère qu'elle s'enfoncera encore plus et que le chômage et la misère s'installent durablement.
Ces connards d'espagnols qui avouent à plus de 75 % ne pas vouloir s'asseoir près d'un juif sans que cela les incommode, vont connaître le pire et surtout la reconquête (déjà en marche) d'Al Andalous.
On peut déjà dénombrer quantités d'arabo-musulmans et de bons gros barbus qui s'entendent comme cochons halal avec les indépendantistes catalans.
Rahhh ! Qu'ils en chient et durement, ils sont trop cons ces espingouins.