Le 6 Octobre 1943, la marche des 400 Rabbins à Washington contre le génocide des juifs d’Europe n’a pas eu l’attention du Président Roosevelt. Pire encore, ce dernier envoya devant la délégation son vice-président Wallace qui ne cacha pas son mépris pour ces rabbins.
Comme le New York Times et tous ces « américains juifs » qui ne voulaient pas se faire remarquer comme juifs, les 400 Rabbins furent bien seuls.
Pourtant Roosevelt savait. Pourtant toute l’administration démocrate savait. Ian Karsky avait témoigné.
« Beaucoup pensaient que cette protestation attiserait l'antisémitisme et ils faisaient valoir que, parmi les manifestants, beaucoup étaient à la fois orthodoxes et immigrants de fraîche date (ou des Américains de première génération) : ils n'étaient donc pas représentatifs de la communauté juive américaine. Peu avant que la manifestation eût atteint la Maison-Blanche, le président quitta le bâtiment par une sortie arrière pour assister à une cérémonie militaire, puis partit en week-end à la campagne. Déçus et furieux de ne pas avoir réussi à rencontrer le président, les rabbins restèrent devant la Maison-Blanche où ils furent accueillis par le sénateur William Warren Barbour et d'autres, ils refusèrent de lire leur pétition à haute voix mais préférèrent la remettre au secrétaire du président, Marvin McIntyre. »
Qu’ils soient bénis. Ils ont au moins tenté quelque chose.
Aujourd’hui, on a les « RABBINS POUR OBAMA ».
Des rabbins de type mouvement juif libéral, installés à Bervelly Hills ou non loin du Capitole et jouissant d’une vie sociale exaltante certes mais moins versée dans l’étude du talmud.
400 Rabbins pour Obama. Les temps changent.
OUI à l’accord sur le nucléaire iranien, écrivent-ils dans leur lettre de soutien.
Un des chefs de file de ce groupe de Rabbis américain, John Friedmann a carrément versé dans le gauchisme le plus puant.
Il milite depuis de longues années pour qu’Israel reconnaisse le Hamas comme partenaire pour la paix et mieux encore, veut qu’on reconnaisse les palestiniens comme des résistants et non des terroristes.
Avant même l’élection d’Obama, ces rabbins encartés à gauche toute, envoyaient des doléances à GW Bush afin que les Etats-Unis reconnaissent le Hamas comme négociateur privilégié.
Certains d’entre eux, encartés à J Street, sont fait du même bois que la mère Zémor et des communistes-écolos de France. BDS ? Une juste cause !
L’un d’eux, le Rabbin Sharon Kleinbaum, membre de J Street avait demandé à sa congrégation d’énumérer et de prier pour les terroristes arabes morts durant les attentats.
Ca n’a pas vraiment plu aux ouailles et on a du calmer les ardeurs du rabbin Kleinbaum.
C’est qu’elle est très branchée cause palestinienne Kleinbaum ! Au point de manifester auprès des « Queers for Palestine » (mouvement LGBT).
Le Rabbin Visotzky et son ami le Rabbin Dorff ont même participé à la course au fric (ce qu’on appelle bienfaisance) au profit du Hamas !
Le Rabbin Paul Menitoff (J Street) avait même poussé le bouchon en
2002 en envoyant une missive à Bush Junior dans laquelle il demandait à ce que des troupes américaines occupent le territoire israélien afin de protéger les palestiniens.
Le Rabbin Jill Jacobs a même insisté pour que les juifs se repentent du tort qu’ils faisaient aux arabo-musulmans. Accusant les juifs vivant à Jérusalem d’être des colons, elle est partie en guerre dans les congrégations afin de porter la bonne parole et faire comprendre aux jeunes juifs et non-juifs américains combien l’existence même d’Israel est un non-sens.
Un autre Rabbin Arnold Jacob Wolf a non seulement milité pour le Hamas mais aussi contre Israel de façon aussi violente que son ami Noam Chomsky dont il serait inutile de rappeler la bio tant la bête immonde habite ce type.
Le Rabbin Wolf a rendu l’âme juste avant d’apposer sa signature sur la pétition de soutien des « rabbins pour Obama ».
Quant au Rabbin Chaim Seidler-Feller, il est sans doute le pire de tous. Le type porte en lui THE tare de la haine de soi. Bagarreur, il adore se frotter aux juifs manifestant leur soutien pour Israël. C’est son truc.
Le type est si hargneux qu’il a un jour frappé violemment deux américaines juives à l’université de UCLA. Il a tout simplement balancé les deux femmes du haut d’un escalier tout en leur lacérant les bras. Il s’y est pris par trois fois. L’une des victimes expliqua qu’elle dut son salut à quelques passants ...
Il paraît qu’il en fut désolé car « ce n’est pas dans ses convictions d’être violent ». mouahahahah !
Ces 400 Rabbins roulant pour le Hamas et l’Iran sous prétexte d’être de vrais patriotes américains pacifistes, sont de vraies plaies comme à l’ancienne, comme celles d’Égypte.
La kippa ne fait pas le rabbin.
Ceux là sont passés à la moulinette du mouvement juif libéral qui s’est tellement éloigné des fondamentaux du judaïsme qu’il fabrique des ersatz de pasteurs protestants.
Presque tous d’origine allemande, ces Rabbins pour Obama, militant contre Israël ne sont que les réseaux de la famille Shoken du journal Haaretz.
Lorsqu’on en arrive à un tel degré d’abjection au point de prier pour les terroristes au mépris de la vie de frères et sœurs juifs morts parce que juifs, il n’y a plus de rabbins.
Il n’y a pas de judaïsme.
Il y a des pourris qui ont du mal à vivre. Des hommes et des femmes qui ont raté quelque chose dans la compréhension de la Torah.
Ils se sont eux-mêmes retranchés du message Sinaïque et feignent de l’ignorer.
Ils ne sont plus juifs. Peut-être des nostalgiques du 3è Reich ?