Le rapport des agents internationaux sur la guerre à Gaza à l'été 2014 fait mention qu'Israel n'a pas commis de crimes de guerre et pire encore aurait été très loin dans ses manoeuvres pour éviter de blesser ou tuer des civils.
Que ces rapporteurs viennent d'Allemagne, Espagne, Italie, USA, etc...Qu'ils soient professionnels de la question...Qu'ils aient pu aller absolument dans tous les recoins des zones de guerre et poser toutes sortes de questions NE FERA RIEN A L'AFFAIRE.
Les juifs sont toujours coupables.
Au lendemain de ce petit cyclone entre gens intéressés bien sûr car aucune téloche française n'ira relayer une information aussi capitale, voilà l'AFP prête à sortir son zyklon B.
L'agence ne supporte pas qu'Israel soit regardé même à super-minima comme une démocratie honnête et un pays qui réussit dans bien des domaines.
La haine crasse qui englue l'Agence France Presse depuis des décennies se déverse dans ces moments rares où la vérité historique émerge.
Israël a rejeté dimanche en bloc les accusations contre son armée lors de la guerre de Gaza, justifiant des opérations ayant tué près de 2 200 Palestiniens, en majorité des civils, dans un rapport officiel qui n'a en rien entamé la détermination des Palestiniens à réclamer justice. Le gouvernement israélien a rendu un rapport dans lequel il estime que ses soldats "n'ont pas intentionnellement visé des civils ou des cibles civiles" et que leurs actions étaient "légitimes" et légales".
Des conclusions qui vont à l'encontre des rapports alarmants d'ONG et d'organisations internationales, de même que des déclarations de soldats israéliens qui ont récemment défrayé la chronique dans l'État hébreu. Tous ont dénoncé un usage "indiscriminé" de la force à l'encontre de civils dans un territoire exigu, surpeuplé et sous blocus terrestre, maritime et aérien israélien depuis huit ans. "La plupart des faits qui ont semblé à des parties extérieures relever d'attaques sans discernement contre des civils ou des cibles civiles étaient en fait des attaques légitimes contre des cibles militaires, sous des apparences civiles, relevant des opérations militaires des groupes terroristes", rétorque le rapport, alors qu'Israël accuse régulièrement le Hamas, au pouvoir à Gaza et dont les hommes ont combattu les troupes israéliennes durant les trois offensives lancées par Israël ces six dernières années, de se servir des civils gazaouis comme de "boucliers humains" pour mener des "crimes de guerre".
Netanyahu dénonce une "campagne de délégitimisation"
Une accusation que les Palestiniens renvoient à l'État hébreu et pour laquelle ils ont adhéré à la Cour pénale internationale (CPI) dans le but avoué d'y poursuivre des dirigeants israéliens. La procureur de la CPI, Fatou Bensouda, a décidé en janvier un examen préliminaire des événements pour "déterminer s'il existe un fondement raisonnable" pour ouvrir une enquête. La prochaine échéance de ce long processus judiciaire approche à grands pas : fin juin, la Commission des droits de l'homme de l'ONU doit rendre son propre rapport sur la guerre de Gaza, un texte qui n'a pas encore été publié mais que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déjà rejeté comme une "perte de temps". La commission de l'ONU est "un organisme qui a voté plus de résolutions contre Israël que contre la Syrie, l'Iran et la Corée du Nord réunis", a-t-il martelé devant ses ministres.
"Israël est la cible d'une campagne de délégitimisation sans précédent (...), le but est de salir Israël et nous riposterons", a-t-il promis, alors que l'État hébreu mène actuellement une contre-offensive active contre les appels internationaux au boycott et les critiques à l'étranger. Pour lui, le coupable, c'est le Hamas, "une organisation terroriste meurtrière coupable d'un double crime de guerre : d'une part, elle tire volontairement sur des civils et, d'autre part, elle se cache derrière d'autres civils".
500 enfants palestiniens tués (ONU)
Le rapport israélien s'appuie sur les enquêtes de l'armée, dont la dernière en date, qui portait sur la mort de quatre enfants sous les yeux de la presse internationale et qui avait provoqué un scandale mondial, a été close cette semaine sans que personne ne soit condamné. Les proches des quatre enfants âgés de 9 à 11 ans s'étaient indignés de cette clôture, réclamant "instamment à la communauté internationale d'agir sérieusement pour mettre fin à cette farce".
Une justice que les Palestiniens entendent bien obtenir. Ce rapport, "une suite logique de ce qu'Israël a fait dans la bande de Gaza", selon les mots d'Ehab Bseiso, porte-parole du gouvernement d'union palestinien depuis Ramallah en Cisjordanie occupée, "ne change rien", ils ne s'appuieront que sur les résultats d'une "enquête internationale", a-t-il poursuivi. Le 8 juillet 2014, Israël avait lancé une offensive aérienne, et terrestre un temps, contre la bande de Gaza dans le but de faire cesser les tirs de roquettes depuis la petite enclave sous blocus vers son territoire. En 50 jours, près de 2 200 Palestiniens ont été tués, dont plus de 500 enfants selon l'ONU, tandis que 73 personnes ont péri du côté israélien, dont 67 soldats.
Ce bilan avait fait de 2014 l'année la plus meurtrière depuis 1967 et l'occupation israélienne des Territoires palestiniens, selon l'ONU, qui recense 11 Palestiniens tués depuis début 2015 par des soldats israéliens, le dernier dimanche matin près de Ramallah.
Bien évidemment Le Point et j'imagine que le reste de la presse en fera autant, en profite pour relayer et titrer de façon si arbitraire qu'on sent poindre la bourse des bédouins sous leurs phrases choc.
GAZA : ISRAËL BLANCHIT TSAHAL !
Point d'explications. Une simple phrase faisant croire que le gouvernement israélien est derrière ce rapport. OUBLIEZ les professionnels venus des 4 coins du monde pour faire un rapport plus équilibré que ceux qui émanent traditionnellement de l'ONU.
Une vraie foutaise ! Avec un vote de barrage systématique de 57 pays musulmans et leurs amis, aucune raison d'être justes et impartiaux dans ce "machin".
Pire encore, on n'entendra certainement pas parler des "recommandations voire des plaintes" de deux rapporteurs (de mémoire l'anglais et l'allemand) qui pensent qu'Israel a pris trop de risques pour sauver des gazaouis par rapport à ses propres soldats.
Il fut un temps, pas si lointain, où nous étions en mesure d'aller devant cette AFP (rue du 4 septembre à Paris) pour manifester et remettre un "PRIX GOEBBELS DE LA DESINFORMATION".
Certains dans la communauté, nous trouvaient trop...radicaux dont un certain Enderlin et sa clique de juifs de gauche dans les médias.*
Ceux là...à Marianne à l'époque mais aussi à Libé ou au Nouvel Obs, nous toisaient, nous faisaient passer pour des petites merdes fascistes et anti-arabes.
Je ne les entends plus nous faire la morale...Curieux non ?
Où en sont-ils nos donneurs de leçon ? Sont-ils encore dans leurs rédactions antisionistes ou, par dépit parce que nous avions (les fachos) reniflé l'embrouille, ont-ils renoncé au débat qui nous occupe ?
Je les vois désormais s'appliquer à débatte inlassablement sur la laïcité et ses vertus en plaçant de temps à autre une petit "problème antisémite français qui resurgit".
Ils ont honte. Ils ont peur. Ils sont blessés parce que les petits comme nous avions pressenti le tragique de la situation et ce qu'elle allait accouché comme horreurs.
Nos intellos de gauche juifs prenaient la défense radicale de la presse. Aujourd'hui, ils sont presque muets.
La réalité a frappé Finkielkraut en pleine poire. Il aura eu au moins l'intelligence de s'élever et de risquer la douceur de sa notoriété impeccable de philosophe juif français. Accordons-lui le pardon.
Mais ceux qui persistent encore en France d'ignorer que toutes les institutions et tous les médias sont phagocytés par des gens uniquement dévolus à la cause arabe en France et/ou palestinienne sont de parfaits arrivistes, des gens de peu, des loosers.
La situation est bien trop grave pour rester retranchés de la vie civile ou s'allier avec la pire engeance comme le font des Claude Askolovitch, Charles Enderlin ou Edgar Morin.
Nous nous souviendrons.
Pour le moment, une telle dépêche de l'AFP peut avoir de graves incidences. Il faut à tout prix RESPONSABILISER les organes de presse parce que demain ce ne seront pas seulement des cris "les juifs au four !" mais encore des cadavres de juifs que nous déplorerons.