En décembre 1941, les premières chambres à gaz étaient des camions dans lesquels on entassait des juifs.
8 mois après le premier gazage, les alliés savaient.
Le fameux télégramme GERHART RIEGNER, avec près de 8 mois de retard parvenait aux alliés américains et anglais.
Tout le monde savait que la source était fiable. Riegner était fiable et tenait l’information par laquelle les nazis avaient mis en place la solution finale par un entrepreneur proche du pouvoir en Allemagne.
Pourtant, le département d’état américain, les juifs américains et les britanniques accueillirent ce message et le qualifièrent de « RUMEUR DELIRANTE INSPIREE PAR LES HABITUELLES PEURS JUIVES. »
Le mépris et l’antisémitisme de l’administration américaine poussèrent cette dernière dans ses retranchements au point qu’elle décida à l’unanimité de cacher l’existence de ce télégramme au Rabbin Wise, Président du congrès juif mondial.
« Les peurs habituelles juives », la fameuse paranoïa juive n’a jamais été bâtie sur du vent. Lorsque les juifs avaient peur, les pogromes n’étaient pas loin en Europe de l’Est. Idem dans les pays arabes dont on oublie souvent combien les dhimmis juifs ont vécu de malheurs, de misère, d’humiliations.
Aujourd’hui, Obama et son administration ont exactement la même attitude vis-à-vis de l’état d’Israel.
Encore une fois, et malgré toutes les déclarations belliqueuses et graves des Iraniens, le Président américain ne veut pas avoir à prendre en compte les peurs juives.
Le mépris est le même, la configuration est la même, 70 ans après la shoah.
Les Iraniens, les arabes aussi n’ont jamais caché leurs intentions d’éradiquer l’entité sioniste.
On ne peut pas dire qu’ils n’ont pas essayé de nuire durant toutes ces décennies de venir à bout des juifs. Que ce soit par les guerres autour d’Israel et sur le reste de la planète entière en s’en prenant aux ambassades, écoles, entreprises, partout où sont des « juifs » pas israéliens.
Si après tous ces attentats en Europe et en Amérique du Nord, latine, Sud, certains osent encore qualifier les meurtriers de « combattants anti-israéliens » alors que ce ne sont que de vulgaires antisémites, Obama est de ceux-là.
Lui aussi est assisté de son parti démocrate (comme Roosevelt) et par des juifs américains pétris de bons sentiments et oublieux de leur identité profonde. Ils veulent être américains et rien d’autre.
Le « bon accord » avec la république islamique d’Iran ne sera qu’un fatras illisible dans lequel les USA s’engageront à lever toutes les sanctions contre l’Iran tandis que les mollahs vont promettre de n’enrichir que très lentement leur uranium. Le temps pour Obama d’obtenir des signatures et justifier ses deux mandats à la maison blanche.
Après lui le déluge !
Si Obama pense que les mollahs vont s’arrêter à quelques 20 000 centrifugeuses alors qu’on partait sur une base au début des négociations de 1500…on voit avec quelle rapidité les Perses sont capables de faire changer d’avis n’importe quel Yankee imbus de lui-même.
Le pire est que tout le monde est d’accord ! La France, la Grande-Bretagne, la Russie bien sûr, la Chine et l’Allemagne !
Au début, les trois pays européens ont fait mine d’être chatouilleux mais ils ont du céder devant le marché iranien. Tout le monde a quelque chose à vendre aux islamistes chiites.
Même les écolos français trouvent ça très bien le nucléaire en Iran ! Partout ailleurs les verts dégueulent sur les sites nucléaires mais pas lorsqu’il s’agit d’un ennemi qui peut venir à bout de l’entité sioniste...on lui trouve quelques vertus.
Ils ne sont plus si regardants les américains envers leurs nouveaux alliés.
L’amour vache, ils commencent à apprécier puisqu’il y a quelques semaines encore, en pleine négociations le guide suprême Khamenei hurlait à plein poumon devant son assemblée de mollahs « Mort à l’Amérique ! ».
Déshonneur et guerre, ces foutus démocrates américains devront payer la note, Obama en tête.
Les « peurs juives habituelles » comme le disaient alors les démocrates à la tête des USA en 1942 n’étaient pas une vue de l’esprit.
Aujourd’hui, le même mépris et la même haine antisémite se sont emparés des tenants du pouvoir américain.
Peut-être que Netanyaou avait raison : « Même seuls, nous ferons ce que nous avons à faire ! ».
Seuls…toujours seuls…bah…rien de nouveau sous le soleil.