Interrogée lors du club de la presse sur Europe 1 le 3 février dernier, Samia Ghali (sénatrice et maire du 8è arrondissement de Marseille), a trouvé le moyen de faire plaisir aux musulmans qui veulent à tout prix marquer leur différence à l’école et contourner la sacro-sainte loi sur la laïcité.
.Elle préconise donc de donner les moyens aux écoliers, collégiens et lycéens musulmans, de mieux s'épanouir en fournissant des écoles adaptées à leur dogme
Il s’agirait selon elle de construire des écoles « sous contrat avec l’état » pour que les gamins puissent étudier en paix avec tout l’attirail de parfait musulman.
http://www.europe1.fr/mediacenter/emissions/le-club-de-la-presse/sons/europe-soir-le-club-de-la-presse-03-02-15-2362955
Elle insiste sur deux points qui ne peuvent que nous emmerder :
- des écoles confessionnelles musulmanes jouissant bien sûr du bouclier étatique afin de donner des garanties qu’elles ne deviendraient pas de pures madrassas.*
- Ces écoles comme les mosquées seraient bâties grâce aux deniers de l’état car le coup « sous contrat » peut permettre cette arnaque.
*Elle évoque à ce sujet, quelque chose de très inquiétant : des madrassas (écoles coraniques) fleurissent partout à Marseille (et dans le reste de la France), qui n'ont aucun contrôle vu qu'elles sont fort méconnues des pouvoirs publics. On peut aisément, sans aucune parano démesurée, penser que ce qui y est enseigné est loin des valeurs républicaines et pire encore, être des petits coins tranquilles pour salafs bouffeurs de kouffars.
Madame Samia Ghali vous le dit : elle est musulmane light, républicaine et socialiste.
Heureusement qu’elle nous le balance dès qu’elle peut le caser sinon…nous pourrions être méfiants.
Elle soutient en outre, que sur plus de 800 000 habitants sur Marseille, seulement UN QUART, soit 200 000 musulmans y demeureraient.
Soit j’ai la berlue, soit je vois des musulmans partout ! En fait, j’ai pas vu trop de gaulois ces dernières années dans la cité phocéenne. Faut que j’aille revoir mon ophtalmo.
Evidemment, Mme Ghali prendra comme exemple ces « écoles juives » qui semblent pulluler dans sa ville chérie.
Comme expliquer à la pétasse sénatoriale que l’école républicaine est quasiment devenue une zone de guerre pour les juifs de Marseille ? Et d'ailleurs...
Elle fait mine de ne pas savoir. Elle ne s’informe pas. Elle s’en cogne des administrés juifs vu que son arrondissement c’est une réplique de Sidi Bel Abbès.
Notez les aminches que je fus quelque peu décontenancée que personne n’aie moufté lorsque durant les dernières élections municipales, Samia Ghali voulant être assurée d’un « certain vote communautariste », mit à contribution ses plus proches lieutenants.
C’est ainsi que des bus, des voitures et des « soutiens physiques » pour les plus âgés amenèrent ses électeurs à bon port : devant les urnes !
Mais oui les poteaux. Dame Ghali avait tout arrangé et l’on vit des quasi-grabataires en djellabah, des femmes en total look blédard, ramener leurs fesses par la grâce de leur championne.
A part ce léger manque d’élégance, elle vous le répète constamment : « elle est républicaine, socialiste et…pour la laïcité à température variable bien sûr ! ».
Elle n’a pas encaissé sa défaite contre Guérini. Elle met ça sur le compte d’un certain « racisme au PS ». Une arabe…à la tête de Marseille, il paraît que ça ne le fait pas chez les camarades.
Elle nous parle des ghettos, de la misère, de l’option qui n’en est pas une pour tous ses chéris. « C’est soit la délinquance, soit le salafisme ! » selon Samia Ghali.
Il est vrai qu’entre les deux, il n’y a rien…le désert ?
La France, pour les arabes ou pour les musulmans de Marseille, c’est rien que de la merde. Ils n’ont aucune chance de s’en sortir. C’est pourquoi ils veulent vivre comme au pays. Na !
Je m’étonne. Je me questionne. Si c’est pourri à ce point, il n’y a que la Méditerranée à traverser.
A moins qu’il y ait encore moins au bled auquel cas, vaut mieux s’accrocher ici. On bouffe, on a des allocs et on aura bientôt des écoles rien que pour nous.
Douce France…
(Samia Ghali et son mari, Frank Dumontel)