Pas fous les arabes. Ils ont investi dans ces futurs cadres de l'Amérique d'aujourd'hui et de demain en arrosant à coups de "centaines de millions de dollars" les Universités les plus prestigieuses.
Comment leur refuser des "profs islamiquement corrects" après ça ? Il faut savoir rendre comme on dit.
Beaucoup se demandent ce qui s'est passé aux Etats-Unis pour que le discours antisioniste le plus radical a envahi les campus.
On peut y répondre en trois points :
- Fric
- Etudiants arabes
- Faillite des juifs américains.
Pour "jeter sa gourme", apprendre l'anglais et revenir avec des diplômes qui seront utiles au pays,les étudiants arabes ont envahi les campus.
Les plus riches vont se faire une petite dolce vita estudiantine pour repartir diriger l'entreprise à papa et dans la foulée prendre 4 épouses et remplir son contrat de bon musulman.
Les moins riches feront pareil mais auront à coeur de remplir le devoir impérieux d'endoctriner les kouffars du campus en passant par la case Palestine.
A cours de combats idéologiques, vous pensez si ça marche !
Comment expliquer la naissance des associations J STREET (derrière Obama). Les Universités juives comme Brandeis ??? Cette Université qui vient de se prendre une grande claque dans la gueule dernièrement. Subventionnant l'Université palestinienne d'Al Qods, les pauvres juifs de Brandeis se sont aperçus que les étudiants arabes manifestaient avec drapeaux et croix gammées en levant le bras comme au bon vieux temps d'Adolphe ! Ca faisait un peu trop...
Bon...Ils se sont énervés les juifs de Brandeis et ont sermonné le Président "MODÉRÉ" Sari Nusseibeh qui s'est tenu droit sous son keffieh en défendant SES étudiants ! "Ben merde...qu'il a dit Nusseibeh : c'est pas des juifs qui vont nous dicter notre conduite. Qu'ils se contentent de nous filer du fric !"
Des gosses rompus aux divans de psy, gavés de mal-bouffe et de mal-être, c'est de la bonne soupe pour en faire des militants de la cause arabe !
D'année en année, depuis l'établissement du célèbre Edward Saïd, les Universités américaines sous prétexte que la démocratie doit être totale, a du refiler des chaires à des profs arabo-musulmans qui ne se sont pas privé de donner toute la mesure de leur crasse inculture ou plutôt monuculture : l'anti-israélianisme de base.
On peut passer par la case littérature, sciences politiques, histoire, géographie et mêmes les sciences exactes comme les maths et la physique, ces nouveaux profs venus du moyen-orient assènent tous le message : le danger c'est Israël, entendez "les juifs".
Des milliers d'étudiants juifs et non-juifs ont ainsi bénéficié de la grande lessive des cerveaux au point que des associations, des cercles intellectuels, des instances universitaires au plus haut niveau, furent envahis par la nouvelle donne anti-israélienne.
En décalage néanmoins avec le pouvoir exécutif, l'élite universitaire et de manière générale intellectuelle des Etats-Unis est sous l'emprise de l'exotique orientalisme.
Hier les féministes cartonnaient. Aujourd'hui, on glorifie la pudeur extrême des hijabs. Jamais en retard d'une connerie les Etats-Unis. Affaire de mode sans doute. Ne vous inquiétez pas, nous avons la même chose en France.
Même les Universités catholiques prestigieuses sont dans le réaménagement des chaires afin de laisser place aux "frères arabo-musulmans". Le signal est très fort car il entérine une forme d'accord entre "croisés" et mahométans. Là aussi, il ne faut pas négliger la manne des pays du Golfe qui ont aidé à clore les budgets quelque peu malmenés par les crises financières successives.
Après Columbia, Berkeley, UCLA, Stanford, Massachusetts Institute, voici Yale dans toute sa splendeur.
L’ÉCOLE DE DROIT DE YALE PROMEUT UN DISCOURS SUR LA LOI ISLAMIQUE DU SHEIKH QUI RÉCLAME UN GÉNOCIDE CONTRE LES JUIFS
Daniel Greenfield
Adaptation française Thérèse Zrihen-Dvir
Le cheikh Rachid al-Ghannouchi, dirigeant du mouvement islamiste controversé Ennahda, donnera un discours le mardi après-midi à l’école de droit de l’université Yale, selon le site web de l’école.
L’apparition prochaine d’al-Ghannouchi à la ligue académique d’Ivy pourrait bien être improbable, vu le soutien de longue date que le cheikh avait octroyé aux groupes de terroristes radicaux et ses appels antécédents aux musulmans « d’une guerre continue contre les américains ».
La violente rhétorique du cheikh, ses penchants radicaux et son appui au Hamas, avaient banni son entrée aux USA pendant un certain temps.
Mais le génocide préconisé de Ghannouchi va bien au-delà de tout cela.
Le cheikh Rashid Ghannouchi, du groupe islamique modéré tunisien Ennahda, dit qu’« il n’existe pas de civils en Israël. La population entière comprenant - hommes, femmes et enfants – sont les soldats de l’armée de réserve et peuvent être tués ».
Je ne doute pas qu’un discours franc et honnête sur la loi islamique serait enrichissant, mais comme ses copains de la Confrérie Musulmane, le cheikh sait comment modifier sa rhétorique maintenant que lui et son parti islamiste meurtrier détiennent le pouvoir en Tunisie.
Vous avez aimé Ahmadinejad à Columbia ? Vous aimerez sans doute Ghannouchi à Yale ! Les portes de la démocratie du grand Satan sont grandes ouvertes à tous les bédouins racistes et anti-juifs de la planète.
Le contraire est possible ?
Vous vous foutez de ma gueule ?