Julia Boutros, libanaise chrétienne maronite. Le fait que sa mère, arménienne soit née en Palestine, place de facto la chanteuse du côté du Hezbollah, de l’OLP et les Druzes de Joumblatt.
Elle a du oublié que l'ancêtre du Hezbollah, la sanguinaire MILICE AMAL, a décimé une bonne partie des chrétiens maronites du Liban.
Il ne faut pas se tromper. Le Hezbollah, groupe terroriste et mafia régente tout au Liban. Dès que vous mettez les pieds sur l’aéroport de Beyrouth, vous êtes suivi, épié et rapporté.
Julia Boutros qui enchaîne une chanson à la gloire des faits d’armes du Hezbollah durant la guerre Liban 2 en 2006, semble ne pas se souvenir des pressions exercées par Nasrallah pour obtenir une trêve avec l’entité sioniste. C'est qu'il avait peur le gros.
Si cafouillage et manquements de Tsahal il y eut au début de la guerre de 2006, le sursaut arriva et les défaites du groupe terroriste commençaient à se voir un peu trop. Son image de marque pouvait à jamais être entachée. Dommage !
Bien épaulé par la presse mondiale, le Hezbollah pouvait pavoiser. Qui se souvient des nombreux clichés apparaissant dans la presse dite « sérieuse » telle que l’AFP ou Reuter qui éditaient des photos retouchées par photoshop afin de faire pleurer le chaland sur la cruauté sioniste !
La chanteuse chrétienne maronite Julia Boutros enchaîne devant un public déchaîné et acquis à la cause du Hezbollah avec une chanson basée sur une lettre de Nasrallah le très… »COURAGEUX » chef du Hezbollah qui vit depuis plus de dix années dans des tunnels creusés à plus de 150 mètres sous terre.
« Allez-y ! Moi je me planque ! »
Les chefs de ces très nombreux groupes terroristes arabes ont l’art d’envoyer au casse-pipe les adeptes. Comme au temps du prophète Mahomet qui astiquait ses sabres mais restait en retrait durant toutes les batailles et les vols en bande organisée ou razzias.
Rahhh ! Ces arabes ! Ils ne changeront jamais.