Gaza, ses hôtels 5 étoiles, ses restaurants de luxe, son club d'équitation, son centre commercial tout neuf et...ses clans terroristes !La mort du militant pro-palestinien Vittorio Arrigoni (de nationalité italienne) vient nous rappeler l'autre réalité qui sévit dans la bande de Gaza ; celle qui est sciemment oubliée par la presse française pour deux raisons : son parti-pris pro-palestinien irrédentiste impliquant son manque de volonté (ou son impuissance) à donner des informations avérées.
Vittorio Arrigoni faisait parti de l'ISM (mouvement de solidarité international pour la Palestine)
créé par des arabes chrétiens comme Ghassan Andoni et Huwaida Arraf et des juifs israéliens ou américains dont l'un d'eux Adam Shapiro épousera Huwaida Arraf.L'ISM se déclare comme un mouvement non violent voulant faire émerger les droits des palestiniens contre l'occupation israélienne et si possible contre tous les israéliens.
Huwaida Arraf par exemple fera partie de la flottille dite de la paix de 2010 contre laquelle Tsahal dut se confronter et plus particulièrement contre le Marvi Marmara.
Pour Vittorio Arrigoni, le combat contre les sionistes était inscrit selon ses propres mots « dans son ADN ». Son grand-père aimait-il à rappeler
s'était battu contre les nazis...il était normal qu'il continuât de faire de même. Les nazis étant forcément les « juifs ». Vittorio Arrigoni aurait du demander dans quelles circonstances sa « patronne » et co-militante
Huwaida Arraf avait pu entamer des études, elle, l'arabe chrétienne. Il est si bon de cracher dans la soupe après avoir profité de la tolérance et de la sécurité en Israël.
En effet, les parents de Huwaida Arraf, se sentant en danger en qualité de chrétiens en Judée Samarie, se sont implantés en Israël, ce qui permit à la jeune Huwaida de poursuivre des études qu'elles peaufinera ensuite aux États-Unis.
Le militant italien, après 3 années passées dans ce cloaque qu'est devenue la bande de Gaza, se croyait-il invulnérable ? Tout nous porte à le croire.
Ce que beaucoup de gens ignorent, c'est que Gaza n'est pas du tout le petit califat monolithique qu'on nous présente dans la presse. Si le Hamas semble en apparence en avoir le contrôle, il en est tout autrement dans la réalité.
Gaza appartient par petits morceaux à des clans, des tribus bien distinctes et n'est en somme qu'un territoire que se partagent des clans mafieux agissant sous couvert de « résistance aux sionistes ».«Officiellement » on connait les groupes tels que :
le Hamas, le Djihad islamique et son bras militaire brigades Al qods, les brigades des martyrs d'Al Aqsa bras militaire du Fatah, Al Quaeda qui s'incruste partout où elle peut, les Pasdaran envoyés par le Hezbollah pour filer un coup de main à tous les barbus de Gaza. Ça en fait du monde !
Et ce n'est pas tout :
Ajouter les clans familiaux de bédouins venus s'installer tardivement dans Gaza pour profiter de la manne financière intarissable que l'UNRWA déverse sur « ces pauvres palestiniens ».*
Parce que ces clans là détiennent parfois une rue, parfois un trottoir et parfois les alentours d'un cimetière de Gaza, tout ou presque peut arriver sur cette terre « de tourbe et de djinns, sur laquelle rien ne pousse » comme la décrivaient les arabes avant l'occupation israélienne de 1967.
Pour le moment, ce qui préoccupe la « bande » c'est sans nul doute
qui portera la responsabilité du crime comme toujours « odieux » d'un militant pro-palestinien.
Le Hamas par la voix de son Ministre de l'intérieur Ihab al-Ghoussein ose cependant :
« Le gouvernement condamne ce crime atroce qui ne reflète pas nos valeurs, notre religion, nos coutumes et traditions ! »Émouvant non ? C'est pas leur genre au Hamas il paraît !
Le groupe qui aurait kidnappé, torturé et tué Vittorio Arrigoni serait :
Tawhid wa al-Jihad...Inconnu encore au bataillon des groupes islamistes de Gaza, les voilà propulsés sur la scène internationale et ils commencent à le regretter.
En effet, ces islamistes du Tawhid wa al-Jihad reculent et allèguent maintenant qu'ils n'y sont pour rien. Cela me fait sourire car ces braves barbus radicaux ne sont désireux de devenir shahids
que lorsqu'ils sont à peu près sûrs de ne pas avoir à le prouver.
Une vidéo bien morbide a été lancée sur le net dans laquelle on voit Vittorio Arrigoni, le visage tuméfié, les yeux bandés, le corps entravé avant son exécution. Ce besoin de mettre en scène la mort est
une spécificité de la religion d'amour et de tolérance.
Les Italiens apprécieront tout comme les militants d'ISM. Du reste, ils n'ont pas désarmé si je puis dire car ce crime odieux ne peut détourner les pacifistes de leur but ultime : la guerre contre Israël.
En ce cas, les fondateurs d'ISM
ont la « nostalgie » OPPORTUNE, à fleur de peau et se souviennent...
»Vittorio était un militant sincère qui avait réussi à forcer le blocus israélien sur Gaza en 2009. » soupir...sniff...sniff...soupir...
Mais laissons parler le « martyr » lui-même :
« Je suis arrivé le 23 Août 2009 par le bateau Free Gaza avec 40 autres activistes de 17 pays différents. Je me souviens précisément de ce jour car il fut le plus heureux de mon existence.(...) Moi et mes amis sommes arrivés à Gaza afin de faire face aux snipers israéliens et de faire de nos corps des boucliers humains, ce qu'aurait du faire les Nations Unies. »Pauvre Vittorio Arrigoni ! Mais le Seigneur dans Son infinie sagesse t'aura entendu et tu auras servi finalement de bouclier humain entre différentes factions terroristes de la bande de Gaza.
Nous sommes désolés pour toi si les terribles sionistes n'ont absolument rien à voir avec ta mort de martyr, vraiment...La chasse est ouverte à Gaza ! Les barbus de tous bords vont s'accuser peut-être s'entretuer mais la résistance pro-palestinienne dans le monde fera comme si c'était un
accident. A nouveau on nous ressortira le coup de la stigmatisation et l'affaire Arrigoni sera enterrée sous des tonnes d'armes, de dollars, de répression et de sermons de mosquées pleine de haine anti-juive.
Le quotidien quoi !
Une toute dernière petite chose...trois fois rien...Lorsque j'observe les visages hébétés des militants pro-palestiniens, devant l'annonce de la mort d'un des leurs, je me demande bien quelle défiinition ils accordent au mot "crime".
Comment appellent-ils les viols de leurs militantes à Gaza et en Judée Samarie par leurs protégés ? Des escarmouches ? Des délits ? Des gestes déplacés ? Il est vrai qu'au moyen-orient, on doit re-définir les crimes et délits sinon les occidentaux que nous sommes peuvent y perdre leur latin.* Lire : Matt Rees "une tombe à Gaza" poche
PS : Quelques heures après l'émoi suscité par la mort de l'activiste on apprend :
"Gaza : le Hamas accuse Israël d'être derrière le meurtre de l'activiste italien
Le Hamas a accusé ce vendredi Israël d'avoir organisé le meurtre de l'activiste italien pour stopper la flottille qui doit se rendre à Gaza en mai."RIONS AVANT D'AVOIR A EN PLEURER !