Récemment, en Espagne, un nouveau parti est né.
Le Prune : “Partido Renacimiento y Unión de España” (PRUNE) s’est présenté officiellement à Grenade. Ainsi qu’il le déclare sa source d’inspiration est l’islam ; et il s’est fixé pour but la défense des minorités.
Son fondateur Mustapha Bakkach a obtenu la nationalité espagnole en 2001. Il a toutefois tenu à préciser que l’obtention de cette nationalité n’annule en rien sa nationalité marocaine.
Lors d’un discours commencé en arabe, Mustapha Bakkach a déclaré vouloir amplifier la participation des citoyens, promouvoir la justice, l’égalité et la solidarité sans jamais cesser de respecter la légalité constitutionnelle. Enfin, il a tenu à préciser que rien ne différenciait le PRUNE des autres partis politiques si ce n’est que l’islam est à la base de ses principes.
Le PRUNE se présentera aux élections municipales de 2011. Il espère avoir des représentants dans les mairies (ayuntamientos) dès 2015. Il se présentera dès 2012 pour les élections dans les circonscriptions où il a des représentants, à savoir Madrid et Barcelone, sans oublier les Asturies, Valence, Murcie et, en Andalousie, Malaga et Grenade.
Il y a deux jours, Mustapha Bakkach annonçait l’arrivée d’une femme catholique, venue rejoindre les rangs du PRUNE sans que je sache au moment où j’écris quel est le nom de cette gente Dame, mue sans doute par un retour à la foi peu importe avec qui. Crise de spiritualité en Espagne ? Sans aucun doute.
Beaucoup de ces jeunes catholiques, devenus athées après un franquisme éreintant, ont pris leurs marques dans la gauche profonde pour combler un vide spirituel. Lorsque Zapatero a donné un geste fort en régularisant un million et demi de sans-papiers, les Espagnols n’ont pas bronché. Viva España y Viva la muerte !
Les Espagnols de gauche ont pris en charge le peuple palestinien alors prendre en charge tous les Marocains qui viennent voir si le soleil est plus doux de l’autre côté du détroit de Gibraltar, c’est bien aussi. En ce moment, il est vrai, la crise financière est duraille mais le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point.
J’en arrive à la rubrique people de l’Espagne parce que je ne résiste pas à ce genre de trouvaille.
Une ancienne actrice (Uruguayenne ) devenue journaliste pour la RAI (Italie) puis pour El Mundo, couvrait les conflits israélo-palestinien et libanais. Elle s’appelle
Isabel Pisano. En 2002, elle reçut le prix de la meilleure journaliste en Espagne.Pour moi, elle n’a du sa notoriété qu’au fait qu’elle fut
la maîtresse de Yasser Arafat durant 12 années ! Elle a du reste écrit un gros bouquin intitulé “Arafat intime, la passion de la Palestine”.
Préface de Tarik Ramadan et post-face de Thierry Meyssan. Hein qu’il est beau le programme ?Dans une interview intitulée :
Arafat, ma passion assassinée, Isabel Pisano crie son amour perdu.
On lui a assassiné son Yasser ! On lui a empoisonné son roudoudou à keffieh.
Yaya lui aurait prodigué tant de caresses et de secrets intimes comme le fait que “sa mère, était une descendante directe du prophète Mahomet ; son père, un riche homme d’affaires. Arafat était aussi un un défenseur infatigable des communautés chrétiennes.”Ben merde alors ! La mère était direct from Mahomet !!! I am not étonnée donc des procédés du Raïs lorsqu’il s’attaquait à tout le monde, pillait les fonds que la communauté internationale
versait et verse toujours à profusion.Maintenant je le comprends Yaya Arafat ! C’était comme qui dirait génétique ce truc de tout rafler et de bousiller tout ce qui bouge ! Ah ouaiche !
Bon, pour nous les gonzesses, on veut savoir si sous l’uniforme et le keffieh, l’homme, Yasser Arafat, en digne descendant du prophète Mahomet avait les mêmes dispositions : la virilité de 30 hommes selon la sunnah.
Que dalle…Elle veut rien nous dire Isabel Pisano. Juste qu’il lui écrivait des poèmes ! Rahhh c’est raté pour le scoop !
Une chose que l’on peut dire avec certitude, c’est que cette gonzesse, journaliste sur le tard et militante acharnée de la cause palestinienne est surtout une pourrie.
Sa cause est une vitrine pour négationniste patentée.
Invitée chez Dieudonné à la main d’or, elle rendit un vibrant hommage à
Roger Garaudy, devant des groupies comme Skandrani et Poumier.
Mais c’est après que c’est plus dur à avaler. La CAPJPO-Europalestine (librairie d'Olivia Zemor) possédant une librairie dans le 17è à Paris, a invité Isabel Pisano.
Lorsqu’on pense à leur discours hypocrite sur leur antisionisme qui n’est pas de l’antisémitisme,
on peut les traiter de crapules.« Bonjour, je vous remercie d’être ici aujourd’hui si nombreux. Cette rencontre a pour but de faire l’éloge de Roger Garaudy, l’homme qui, au péril de sa vie et de son avenir personnel, nous a fait découvrir que le bon sens ne réside pas dans ce que tout le monde répète, mais dans ce que personne n’ose exprimer. Il a à présent 96 ans, et nous espérons bien qu’il jouira encore longtemps de la vie….
Dès ma plus tendre enfance, ma mère ne me racontait pas la fable de Blanche-neige, mais une autre histoire, terrifiante : des millions de juifs avaient été exterminés dans des chambres à gaz en Allemagne pendant la Deuxième guerre mondiale. Comme si cela ne suffisait pas, les assassins transformaient les victimes en savon, sur lequel ils apposaient une étiquette qui indiquait « fabriqué à partir de graisse de juif ».
Il est parfaitement admis par tous les historiens que cette histoire de savon est bidon. Mais j’apprends en arrivant ici que la loi française interdit de répéter les arguments permettant d’aller plus loin dans la recherche pour démêler le vrai du faux. Une loi semblable n’existe pas en Espagne, grâce à Dieu. Au contraire, notre Cour suprême constitutionnelle a récemment réaffirmé qu’il était contraire à la démocratie de mettre des limites au travail des historiens, et qu’il est donc légitime de contester l’ampleur, les caractéristiques ou la nature d’un génocide, quel que soit le génocide. Ce genre de loi « Gayssotine » que vous avez ici, défendant l’absurdité, nous en avons connu sous le franquisme, et nous n’en voulons plus. Elles mènent à la répression sans limites, et sont la honte d’un pays pour longtemps.»La suite de ce vomi ici :
http://www.hapoel.fr/2009/10/isabel-pis ... sistances/Ci-dessus Isabel Pisano. Voilà qui fut la compagne de Yasser Arafat douze années durant. Une pauvre cinglée, une négationniste, une femme à qui l’Espagne d’aujourd’hui attribue des prix.