Skip to content

Quelques écrivains hispanophones amis d’Israël


Es muy probable que según criterios religiosos, de sangre pura, o de raza, de tradición familiar, etcétera, no sea yo un judío ejemplar. En realidad, me importa tres cominos. Puedo afirmar, en cambio, que soy un sionista absoluto. Y eso ¿ a ver quién es el guapo que me lo quita ?   Carlos Semprún Maura

 

Ci-joint, en anglais, l’article de Gustavo D. Perednik, «Naive Spanish Judeophobia», qui m’a servi à élaborer le présent article ainsi que celui auquel il fait suite : «L’Espagne, les Juifs et Israël» précédemment publié sur Zakhor-online.com :

http://www.jcpa.org/phas/phas-perednik-f03.htm

 

J’ai choisi de mettre en lien des articles d’écrivains hispanophones amis d’Israël et des Juifs. Cette liste ne prétend en rien à l’exhaustivité ; elle ne cherche qu’à mettre en appétit, si je puis dire. A force de répéter que l’Espagne est le pays le plus antisémite d’Europe, on oublie qu’il compte de très fidèles amis des Juifs et d’Israël, en particulier parmi ses plus importants penseurs et ses meilleurs journalistes. La plupart des liens que je propose sont en espagnol et en catalan. On m’en excusera. Je n’ai ni le temps ni le courage d’en proposer des traductions. Mais la traduction automatique (quelque peu aléatoire, il est vrai) aidera. Par ailleurs, le lecteur pourra entrer sur son moteur de recherche les noms que je propose, assortis de clés diverses. La connaissance est un labyrinthe ; on s’y engage le cœur battant et c’est bien ainsi.

 

Je ne cherche pas à cacher l’importance des sentiments antisémites et antisionistes en Espagne, mais je répète qu’il y a dans ce pays des amis d’Israël comme il n’y en a guère en France. A ma connaissance, la France n’a pas de Pilar Rahola ; et aucun chef de Gouvernement français n’a eu le courage de déclarer ce qu’a déclaré José María Aznar, chef du Gouvernement espagnol de 1996 à 2004. Pour ceux qui ne l’ont pas lu, je mets en lien son célèbre article : «Si Israël tombe, nous tombons tous !» sur le site Philosémitisme :

http://philosemitismeblog.blogspot.com/2010/06/si-israel-tombe-nous-tomberons-tous.html

Et sur le site Juif.org :

http://www.juif.org/le-mag/309,jose-maria-aznar-si-israel-tombe-nous-tombons-tous.php

 

 

Horacio Vázquez-Rial (né en 1947, à Buenos Aires). Un très beau texte intitulé «Qué signifaca Israel para mí» publié dans le n° 47 de Libertad Digital :

http://www.ilustracionliberal.com/47/que-significa-israel-para-mi-horacio-vazquez-rial.html

Cet écrivain hispano-argentin est notamment l’auteur d’un essai au titre éloquent dont je recommande la lecture, «La izquierda reaccionaria. Síndrome y mitología» (2003), comme je recommande cette autre lecture, «L’opium des intellectuels» de Raymond Aron (1955). Ces deux livres peuvent être lus en regard l’un de l’autre.

 

 

Gabriel Albiac López (né en 1950, à Utiel, Valencia). Je propose un court article mis en ligne sur le blog Casa de Israel, «Ciudadano Shalit» :

http://casa-de-israel.blogspot.com/2011/10/ciudadano-shalit-gabriel-albiac.html

Et un article PDF, «Las raíces de Israel. 1896-1948 : de la utopía sionista al Estado judío».

http://biblioweb.sindominio.net/pensamiento/israel.html

Et un article publié dans La Razón du 30 décembre 2008 :

http://www.larazon.es/noticia/solo-israel

Et une défense de ce philosophe par Felipe Giménez Pérez :

http://www.nodulo.org/ec/2002/n004p12.htm

 

 

Joan Baptista Culla i Clarà (né en 1952, à Barcelona). Une vidéo-conférence en catalan intitulée : «Israel és l’única democràcia a l’Orient Mitjà» :

http://www.e-noticies.tv/canales/actualitat/joan-b-culla-israel-es-lunica-democracia-a-lorient-mitja–9300.html

Et un lien vers son livre, «Israel, el somni i la tragèdia» :

http://www.edicionslacampana.cat/index.php/llibres/239

 

 

José Jiménez Lozano (né en 1930, à Langa, Ávila). Il est l’auteur d’une œuvre aussi variée que considérable. Son premier livre, un essai, a pour titre «Nosotros los judíos» (1961).

 

 

Ci-joint, un lien vers une collection intitulée «Memoria de Israel» et, plus particulièrement, vers un ouvrage collectif intitulé «En defensa de Israel», élaboré à l’initiative de Jaime Naifleisch, Pilar Rahola et José Jiménez Lozano. J’en conseille vivement la lecture. Parmi les nombreux participants, des noms cités dans le présent article :

http://www.certeza.com/israel.htm

 

 

Manuel-Reyes Mate Rupérez (né en 1942, à Pedrejas de San Esteban, Valladolid). Ce penseur est l’auteur de nombreux essais qui interrogent la Shoah et l’antisémitisme. Ci-joint, le n° 32 (sept. 2009) de Nuestra Memoria édité par le Museo del Holocausto (Buenos Aires). Le lecteur y trouvera plusieurs articles de ce philosophe :

http://www.museodelholocausto.org.ar/files/publicaciones/nuestra_memoria_32.pdf

Une video You Tube intitulée «Manuel Reyes Mate, justicia de la memoria» :

http://www.youtube.com/watch?v=4xGmftNOV_8&feature=related

 

 

Marta Pessarrodona i Artigues (née en 1941, à Terrassa, environs de Barcelona). Une très fidèle amie d’Israël et du peuple juif. Elle participe souvent à des cycles de conférences comme celles données à l’Associació Catalana d’Amics d’Israel ou à Bet Shalom (Comunidad Judía Progresista de Barcelona).

 

 

Valentí Puig (né en 1949, à Palma de Mallorca). En lien, un article publié en mai 2008 et intitulé, «Israel en el índice Nasdaq», une réflexion sur les relations entre Israël et l’Espagne :

http://www.revistasculturales.com/articulos/91/letras-libres/907/1/israel-en-el-indice-nasdaq.html

 

 

Fernando Rodríguez Lafuente (né en 1955, à Madrid). Actuellement sous-directeur du quotidien ABC et directeur d’ABC Cultural, il est très présent dans les manifestations qui ont trait à la culture séfarade.

 

 

Carlos Semprún Maura (Madrid, 1926 – Paris, 2009). Petit-fils du grand Antonio Maura et frère de Jorge Semprún. En lien, un article intitulé «¿Soy judío ?» :

http://www.ilustracionliberal.com/15/soy-judio-carlos-semprun-maura.html

 

 

L’auteur termine ce riche article sur ces mots : «Para terminar como había empezado — o sea, hablando de los Maura —, es muy probable que según criterios religiosos, de sangre pura, o de raza, de tradición familiar, etcétera, no sea yo un judío ejemplar. En realidad, me importa tres cominos. Puedo afirmar, en cambio, que soy un sionista absoluto. Y eso ¿a ver quién es el guapo que me lo quita?»

 

 

Vicenç Villatoro Lamolla (né en 1957, à Tarrasa, Barcelona). En lien, un article (en catalan) qui rend compte d’une question fort débattue, «Las críticas a Israel y el antisemitismo» :

http://www.jordipujol.cat/es/cejp/articles/7834

 

 

Un lien vers un site catalan qui accueille des amis d’Israël, parmi lesquels Vicenç Villatoro Lamolla, Bet Shalom (Comunidad Judía Progresista) :

http://www.betshalom.cat/modules.php?name=News2&file=article&sid=301

 

 

Ci-dessus, le livre évoqué et que je recommande tout particulièrement. En couverture, la liste des dix-neuf participants permettra aux lecteurs qui le désirent de poursuivre via Internet la recherche à laquelle les invite le présent article. 

 

Ci-dessous, la table des matières exhaustive de l’ouvrage ci-dessus mentionné :

· Marcos Aguinis : «El odiado ariete de la modernidad»

· Gabriel Albiac : «Meditar Yenin»

· Gustavo de Aristegui : «Llamar a las cosas por su nombre»

· Marcelo Birmajer : «Ser judío en el siglo XXI»

· Roberto Blatt : «Vistas desde el frente»

· Joan B. Culla : «El sionismo: radiografía de un concepto demonizado»

· José Jiménez Lozano : «El humus antijudío»

· Enrique Krauze : «Profetas de paz, profetas de guerra»

· Daniel Laks Adler : «La judeofobia en los medios de comunicación europeos»

· Jaime Naifleisch : «La raíces de la izquierda y del antisemitismo de izquierdas»

· Gustavo Perednik : «La ingenua judeofobia española»

· Marta Pessarrodona : «En defensa de Israel»

· Valentí Puig : «Entre corruptos, déspotas y fanáticos»

· Pilar Róala : «A favor de Israel»

· Lourdes Rensoli : «Israel como memoria histórica»

· Juana Salabert : «Contra el nuevo antisemitismo de siempre»

· Carlos Semprún Maura : «¿Soy judío?»

· Horacio Vázquez-Rial : «Si Israel cae»

· Vicenç Villatoro : «De qué hablamos cuando hablamos de Israel»

 

 

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

*